jeudi 27 mars 2025

Actif Soumis [Xtoire par Sub75]

 [Source : https://cyrillo.biz/histoire-gay-2020-Actif-Soumis.php]

J’ai 32 ans, je suis bien foutu, quasi imberbe, 1m76 pour 70kg. Monté normalement, et depuis toujours avec des fantasmes fortement orientés autour de la domination et la soumission.

Depuis de nombreuses années, me sachant bien plus passif qu’actif, je me suis naturellement tourné vers la soumission… Et j’y ai fait mes armes, et de très belles expériences aussi intenses qu’enrichissantes. Etant aventurier dans mes envies sexuelles, j’ai tenté au fil des rencontres de différents domi réguliers de très nombreux genres de trips : des plus cérébraux aux plus sexuels, du bdsm, du fétichisme, des plans crades, des situations très construites de soumission psychologique, des humiliations, des exhib’, des plans à plusieurs, des jeux crades… Les seules constantes que je me suis imposées étant de ne pas toucher aux chems, et de toujours rester safe.

Mais voilà, bien que j’ai vraiment aimé tous ces moments de jouissance intense, et tout en adorant être passif, je n’ai pas le caractère du soumis. J’ai bien fait illusion en me cherchant toutes ces années, aussi parce que j’y trouvais un épanouissement sexuel certain, mais je sens bien qu’au fond de moi je suis plus un Alpha qu’un bâtard soumis…


A force d’expériences en tant que soumis, en croisant le chemin de tant de domi différents, j’ai acquis également une certaine idée du style de Maître que j’ai envie d’être. Et finalement, ne supportant plus trop de me faire rabaisser par des mecs se pensant supérieurs à moi, j’ai fini par sauter le pas : ma vie de soumis n’était plus faite pour moi et il fallait que je me trouve un bâtard dont je pourrais abuser, tout en rester passif.


Me voilà donc à la recherche d’une catégorie assez rare : l’actif soumis. Longtemps je me suis dit que cela ressemblait assez bien a un hétéro soumis… Sauf que je ne suis vraiment pas une nana (!), et que je n’ai aucune envie de me trouver un soumis qui se donne à moi car il n’a pas trouvé de maitresse. Il me faudrait donc un mec bi ou gay, capable de dévotion à un mec qui lui serait supérieur tout en étant passif. Il me fallait trouver une bite aux ordres, que je puisse commander, ridiculiser, maltraiter, dresser, et qui me serait totalement dévoué.

La recherche ne s’avérait pas simple… Et rare sont les sites qui permettent à la fois de filtrer les profils par rapport à leurs envies actif/passif ET domi/soumis. Je tentais donc des recherches par mots-clefs, tout en ayant créé un profil clair sur ma recherche si parfois un mec intéressé le visionnai.

Quelques expériences bien sympathiques, puis un jour…

« Hello, je me sens très soumis, et je voudrais trouver un dresseur capable de m’utiliser à sa guise et de me mettre au pas ». Voilà donc comment mon slave m’a contacté : message basic et clair, pouvant mener aussi bien vers un fantasmeur du net que vers une lopette au bon potentiel.

Rapides vérifications d’usage histoire de ne pas perdre mon temps et pour calmer le fantasmeur potentiel : pics, lieu, reçoit ou pas… Puis sur ses envies. Et j’ai l’agréable surprise de recevoir des réponses qui vont dans le sens de celles que j’attends : son principal moteur n’est pas de chercher un plan cam, fourrer sa queue dans un trou ou d’être looké pour satisfaire un quelconque fétichisme exacerbé, mais plutôt de se dévouer à un mec qui lui serait supérieur par nature, et qui aurait tous loisirs de l’utiliser pour sa propre satisfaction, sans espérer la moindre compassion ni reconnaissance en retour. Il semble assez serein et réfléchi, est capable d’aligner des phrases cohérentes et suggère ses fantasmes tout en rappelant que seuls ceux de son Maître compteront vraiment… Bref ce mec, bien foutu (et bien monté au passage), commence à me plaire !


Comme il ne semble pas très expérimenté, je suis conscient que je vais devoir ne pas commencer trop fort. Cependant, je sens qu’il a des fantasmes assez poussés de soumission, donc ça me fait penser qu’il a du potentiel.


Les échanges se poursuivent, et j’en viens à envisager une première rencontre de test, que je finis par lui imposer rapidement.


Je me bloque un samedi après-midi pour passer le voir. Afin de comprendre ses ressorts d’excitation en tant que soumis, je ne lui impose aucune tenue ni aucun prérequis : il sera libre de se présenter à moi dans la tenue de bâtard qui lui semblera la plus appropriée. Il ne sait quasi rien de mes intentions, et je lui ai bien précisé qu’il ne devait pas forcément s’attendre à une séance de sexe hard au premier test, histoire de bien calmer ses ardeurs. Ce n’est pas comme ça que je fonctionne, je veux d’abord m’assurer de son état d’esprit. Le plus important pour moi, c’est qu’il se sente inférieur et prêt à adorer son Maître.


J’arrive chez lui sûr et fier, et l’observe directement quand il ouvre la porte : il correspond à ses photos, est plus grand que moi, environ 1m85, plutôt bien foutu, et il dégage un sentiment de crainte mêlé à l’excitation d’une première fois et à la stupidité du soumis qui ne sait pas où se mettre devant son Boss. Ça me plait !

Il est vêtu d’un débardeur et d’un mini short ES en sky noir, qui fait plus "petit clubeur à la démence" que sous-merde à la botte de son mec, mais j’avoue que ça lui va bien quand même.


Dès la porte refermée, et alors qu’il veut m’entrainer vers la pièce suivante qui semble être le salon, je l’attrape par les épaules, le fixe face à moi, plante mon regard dans le sien, et lui ordonne de m’accueillir correctement.

L’ordre veut tout et rien dire, je le sais bien, mais j’aime tester un bâtard et voir l’éclair d’inconfort traverser son regard…

Petit blanc, puis il bredouille un « bonjour Maître » absolument pas convainquant. En temps normal, je le giflerai, mais une intuition me dit qu’il ne faut pas le brusquer si vite. Je me contente donc de lui maintenir fermement les épaules tout en haussant les sourcils et lui lance un : « c’est tout ? »

Second blanc où sa tension est palpable…

« Bonjour Monsieur, je suis ravi de vous voir et aimerais vous rendre la vie plus agréable en vous servant comme votre slave

- Répète plus fort !

- Bonjour Monsieur, je suis ravi de vous voir, et j’aimerais vous rendre la vie plus agréable en vous servant comme votre slave !

- Je préfère largement ! » lui dis-je en faisant glisser ma main de son épaule à ses cheveux.

« Mais tu n’es pas à ta place » Et tout en appuyant fermement sur sa tête, je le vois tomber sur ses genoux et me regarder depuis sa place d’inférieur.

« Tu n’es qu’un bâtard, les pseudos mecs comme toi, ça vit pour être au service, bien à leur place d’inférieur : aux pieds. Rappelle-t-en ! »

Corrigeant au passage le fait qu’il soit plus grand que moi et qu’il me regardait donc de haut, ce que je ne pouvais pas supporter. Dommage pour lui, sa taille va le forcer à passer la majorité de son temps à genoux ou à quatre pattes… De toutes façons, même si c’est un peu cliché, ça me semble être assez naturel pour un inférieur.


« Guide moi là où tu voulais m’amener » lui ordonnais-je. Et de lui-même, et se retourne à quatre pattes et lorsqu’il va pour avancer vers son salon, je m’assois sur son dos pour qu’il me promène chez lui.

Je jubile assez de savoir que jamais il n’aura eu le loisir de me faire voir son appartement en marchant normalement, et je me note à moi-même de garder ce rituel si jamais on venait à se revoir après aujourd’hui.

Ses genoux doivent prendre cher, mais ça fait toujours du bien à un bâtard de souffrir un peu pour son Boss.


Une fois dans son salon, je lui ordonne de se tenir droit sur ses genoux, et de baisser le regard. Je commence alors une inspection en règle, histoire de mieux voir la marchandise, et laisse mes doigts glisser sur ses épaules ou sa nuque en l’observant. Il a plutôt un beau corps pour un bâtard, et je lui ordonne d’enlever son haut pour vérifier.

Peu de poils au torse, de beaux tétons qui mériteraient d’être travaillés, une carrure raisonnable, et un buste lambda qui sans être spécialement musclé, n’est pas gras non plus. Ce mec me plaît.

J’aime aussi sa coupe de cheveux en bataille, qui fait soignée et propre tout en laissant assez de longueur pour aisément l’attraper par la tignasse… Je lui fais lever un bras, puis l’autre, et continue mon inspection : il est manifestement propre, ce que j’apprécie assez, poilu sous les bras, et frissonne de stress et d’excitation mêlés.



Je m’assois sur le canapé devant lui, et lui ordonne d’enlever son short tout en restant au sol. Je me demande depuis tout à l’heure si il est nu dessous ou pas… Et j’aime voir un soumis se tortiller au sol pour exécuter mes ordres… Heureuse surprise, il s’exhibe en jock strap : j’adore ça pour un soumis. Je le remets à quatre pattes, le cul vers moi, et admire ce joli fessier quasi imberbe que je crève déjà d’envie de faire rougir… Et sans résister davantage, je le fesse 4 ou 5 fois, juste pour le plaisir de l’entendre couiner pour la première fois. Hum, un vrai plaisir.


Je m’accroupis devant lui, et lui relève le menton pour planter mon regard dans ses petits yeux craintifs :

« T’es pas parfait, mais t’as l’air potable… Avec un peu de dressage, tu pourrais être à mon goût. C’est un prérequis, mais ça ne fait pas tout. Si tu veux que je te fasse l’honneur de te laisser me servir, tu devras y mettre constamment du tien, et sans cesse réfléchir à comment tu pourrais me vénérer au mieux… Tu pourras jubiler d’avoir donné à ta vie de sous-merde le sens auquel un bâtard peut prétendre : servir son Maître, et en retirer un plaisir proportionnel à ma satisfaction. T’as compris ? »

Il opine timidement de la tête. Du tac au tac je lui envoie un bon gros crachat sur la gueule :

« J’ai rien entendu sous-merde !

- Oui Monsieur

- C’est mieux. Tu peux aussi me remercier pour les fessées de tout à l’heure. Combien je t’en ai donné ?

- Cinq Monsieur

- Cinq occasions manquées de me remercier ! Tu commences bien. J’attends.

- Merci Monsieur

- Répète 4 fois de plus, pour que ça imprime !

- Merci Monsieur, Merci Monsieur, Merci Monsieur, Merci Monsieur »

Je lui tiens fermement le menton, mais je vois son regards fuyant quand il dit ça. J’aime voir son malaise… Mais je sais aussi qu’il faudra que ça lui passe avec le temps si je veux qu’il s’assume dans sa vie de sous-merde à mon service… Mais ça reste beau à voir !

« Tu te sens con ?

- Un peu Monsieur… Je crains de mal agir

- Pas un peu. T’es probablement très con, comme n’importe quel inférieur… Mais à mon contact tu t’amélioreras. Tu apprendras, sous la contrainte si il le faut, à être un bon toutou à ma botte, qui réfléchi pas avant d’obéir, et qui cherche à me faire plaisir comme si sa vie en dépendait à chaque instant !

- Oui Monsieur

- Va me chercher une bière. Si t’en as pas, fait moi un café. » Et je repousse sa tête en direction de ce que je suppose être la cuisine. Il file à quatre pattes.


En même temps, j’attrape quelques trucs dans mon sac et je le rejoins. Je le retrouve debout dans la cuisine, en train de chercher de quoi faire un café. Je fonds direct sur lui comme un prédateur, le choppe par le cou en serrant bien fort, le refous à genoux, et lui dis à l’oreille :

« Qui t’as autorisé à te lever bâtard ? Hein qui ? Putain tu comprends rien sous-merde ! Tu crois que tu peux faire ta vie comme d’hab’ quand je suis là ? Tu crois que les bâtards comme toi peuvent être libre ? Tu crois que toutes tes petites habitudes du quotidien s’appliquent avec moi ? Hein ? »

Il regarde ses pieds, ne sachant trop quoi dire…

« Quand tu sais pas, tu demandes poliment et avec respect. C’est clair ?

- Oui Monsieur, pardon Monsieur

- Assied toi sur tes pieds, et tend les mains vers moi. Et baisse le regard !

Putain, c’était tellement sûr qu’il allait se lever pour faire un café… Et qu’il me demanderait pas. Tu m’étonnes qu’il ait besoin de vénérer un mec supérieur et de se faire dresser… Il part de loin. Mais je jubile… J’adore tellement dresser les petites sous-merdes comme lui et les mettre sous pression… J’veux qu’il comprenne que chacun de ses gestes doit dépendre de moi, et qu’il accepte de ne plus rien contrôler sans avoir eu mon aval avant… Et c’est exactement ce que je lui explique en lui mettant des bracelets d’accroche en cuir à chaque poignet que j’avais emporté dans mon sac.

« Tu trouves peut-être ça difficile, mais c’est juste que t’es une merde… La seule chose que tu dois comprendre c’est que t’es à moi, et que tu ne fais rien sans que je t’en ai donné l’ordre ou l’autorisation. Tu demandes l’autorisation pour parler, tu demandes l’autorisation pour me lécher les pieds, tu demandes l’autorisation pour me masser, tu demandes l’autorisation si tu doutes… Tu demanderas même l’autorisation pour pisser ; tant que t’auras pas intégré que c’est moi gère. »

Je lui mets maintenant le collier en cuir que j’ai apporté. Pas un collier de chien banal, mais un collier assez large qui gène bien les mouvements de la tête.

« Tu vois, ce collier ça symbolise quoi ?

- …

- Répond bâtard !

- Que je vous suis soumis

- Bonne réponse. Mais même sans ce collier pour moi t’es qu’une sous-merde… Mais j’aime bien les sous-merdes qui portent des signes extérieur de servitude… Au moins ça te rappellera en permanence ta place. T’as du bol, je vais pas trop le serrer pour le moment… Mais si tu me casses les couilles, je ressers d’un ou deux crans, tu verras, ça te rendras direct plus docile.

Maintenant, comme punition pour t’être levé sans mon accord, tu vas faire le café en galérant p’tite pute. »

Et je lui accroche chaque poignet aux anneaux à chaque coté du collier. Le voilà avec les mains coincées à la hauteur des oreilles, avec à peine l’espace d’un mousqueton pour les mouvoir.


Je m’assois sur le plan de travail et lui ordonne de se lever et de me faire ce café ! Et d’avoir des bières au frais la prochaine fois pour son Maître… Que c’est la moindre des choses !


Je suis pervers… Je le sais, et j’aime ça chez moi. Je kiff de voir ce connard galérer à me faire un Nespresso en devant se foutre la gueule sur la machine pour l’allumer, et de toutes nos discussions précédentes j’ai la ferme impression que c’est ce genre de traitement qu’il recherchait en voulant un Boss. De toutes façons, si je le veux, il le fait ; c’est comme ça que ça doit marcher…


J’ouvre les placards comme si j’étais chez moi, il me voit faire mais reste focalisé sur son café sans rien oser me dire… Je prends un bol et sers au robinet de l’eau tiède.

Dès que le café commence à couler, je le choppe, le fou à genoux et lui dis que je préfère qu’il attende au sol à sa place de sous-homme que le café soit prêt. Et quand c’est enfin fait, il me demande si il peut se lever (première victoire), puis me tend la tasse en devant approcher son visage si prêt de mes mains que ça lui fait faire une révérence comme un slave ferait devant son Maître… Bonne petite pute… Je lui fais bien remarquer, évidemment.


Poignets décrochés, je prends le bol et le café, et le siffle pour qu’il me suive à quatre pattes en bon cleps. Une fois au salon, je m’assois dans le canap’, crache dans le bol un bon mollard, et lui mets sous le nez en lui ordonnant de laper.

Et je bois mon café peinard, en me servant de mon bâtard comme repose pieds. Pieds que je finis par lui mettre sous le nez pour qu’il commence enfin ce pour quoi il est fait : être littéralement à mes pieds, et s’en occuper avec dévotion…


Il va commencer par décrasser mes shoes. J’ai fais exprès de mettre des pompes basiques plutôt que des skets sur lesquelles beaucoup de mecs fantasment… Je veux qu’il me vénère moi, pas ma marque de pompes. Une fois que je serai plus certain de sa dévotion, alors peut-être aura-il l’honneur de mes skets, et si il a du bol il aura même droit à ma sainte odeur quand je sors du sport…

Il s’applique, et j’en suis agréablement étonné. Il lèche pour de vrai, sans faire la chochotte. C’est manifestement quelque chose qu’il aime, et il marque des points. Ça doit être important pour un bâtard que les pompes de son Boss brillent à force de sa salive.


Sur mon ordre, il me les enlève, et après l’avoir mis sur le dos, je lui fais bouffer les pieds en chaussettes. Malheureusement pour lui je le grille en train de se toucher la nouille en même temps.

« Vire tes mains de là tout de suite bâtard. Ta queue m’appartient, même pas en rêve tu te touches sans mon autorisation. Et tout en me levant sur lui, je lui notifie qu’il a pas intérêt à me faire répéter ça un jour si il veut pas le regretter fortement. Il acquiesce d’un « oui Monsieur, pardon Monsieur », tout en galérant à respirer puisque je lui marche littéralement dessus. J’aime voir ma carpette plus bas terre comme ça. Bien statique sur lui, j’entreprends de lui faire tomber de gros mollards sur la gueule, en lui ordonnant d’ouvrir grand la bouche pour les avaler… Il me regarde à la fois excité et tellement humilié… Sa queue sort de son jock et il bande à mort… Décidément ce bâtard me plait de plus en plus.



Un tour dans mon sac et j’attrape un bandeau que je lui noue autour des yeux. J’en profite également pour attacher ses deux poignets ensemble. Le voilà aveuglé les mains attachées dans le dos. Je me mets à poil et me pose devant lui dans le canapé. Il va me découvrir à la seule force de sa langue… Il doit lécher mon pied, que je ramène au sol le faisant se rabaisser au passage. Au gré de mes ordres, il va lécher chacun de mes pieds pendant un moment, bouffer mes orteils, lécher la plante, et remonter le long de mes mollets, puis genoux, et lécher tout autour, et en se prenant des p’tites claques quand il faiblit…

J’en profite pour prendre quelques photos car je le trouve kiffant comme ça, aveuglé et la langue dehors, à lécher son Boss comme un bâtard qui vénère son Maître.

C’est assez long, car j’aime ça, et aussi parce que je veux tester son endurance. Mais manifestement il a une bonne volonté pour une sous-merde, car sans lui mettre une pression folle, il continue à bien s’appliquer.


Alors, grand Seigneur que je suis, je commence à lui autoriser à aller plus haut que les genoux… Il me chauffe grave depuis un moment, et j’ai envie de sentir sa langue se rapprocher de mes couilles.

Il lèche l’intérieur de mes cuisses, je lui bloque régulièrement la tête en serrant les jambes et m’amuse à lui fourrer les doigts dans la gueule et à lui fouiller la bouche… Il s’étrangle un peu ce gland, et bave qu’il en peut plus… Je commence à très bien l’imaginer encaisser des trips bien plus hard et a me délecter de le voir en galère… Et ça me file la trique…


Je me lève, lui détache les mains pour qu’il puisse être à quatre pattes, et vais à l’autre bout du salon alors que lui reste à sa place, aveuglé.

« Tu veux continuer à lécher ton Boss la pute ?

- Oui Monsieur, s’il vous plait

- Alors vient chercher mes pieds. Démerde toi, guide toi à la voix. Dit moi ce que t’es prêt à faire pour moi pour que j’te réponde et que tu saches où je suis. Et t’es chez toi, alors rien à foutre si tu te tapes un meuble, t’avais qu’à mieux ranger ta tanière de sous-merde. » Et j’en profite pour bouger un peu sans frère de bruit…

Il commence à venir dans ma direction, mais ne me trouve pas là où j’étais quand je lui parlais, et il va être forcé de me dire ce qu’il a envie d’être pour moi si il veut me trouver… J’en profite pour sortir mon portable et le filmer.

« Monsieur, j’ai envie de vous servir, de vous décrasser, d’être votre slave à dispo

- C’est bien bâtard, vient me voir. Tu veux prendre des baffes aussi ?

- Oui Monsieur, si vous pensez que j’en ai besoin

- Tu en auras forcément besoin, t’as une tête à claques, alors pour me satisfaire tu devras forcément les encaisser

- Oui Monsieur, tout ce que vous voulez »

A chaque fois que je parle, je bouge, et je le vois me suivre comme un toutou qui cherche son os… Ma vidéo va être au top.

« Monsieur je voudrais vous servir

- bouge pas, tu te répètes là. Dit moi autre chose sous-merde

- Pardon Monsieur, j’ai envie de vous donner du plaisir. Je suis prêt à obéir à tout ce que vous voulez si ça peut vous faire revenir le plus souvent possible.

- C’est bien ça bâtard, tu commences à comprendre ton rôle. Mais encore ?

- Vous pourrez me traiter comme la pire des sous-merdes, vous défouler sur moi, m’utiliser comme gode humain, ou me frustrer. Me contrôler par tous les moyens que vous voudrez, m’humilier et me rabaisser encore plus qu’aujourd’hui, et me dresser de force à tous vos délires

- Tu aimes être puni ?

- Non Monsieur parce que je préfère vous servir au mieux, et être puni veut dire que j’ai failli à vous satisfaire

- Mais tu accepteras toutes les punitions que je te donnerai !

- Oui bien sûr Monsieur, vous êtes Supérieur, je n’ai pas mon mot à dire

J’ai entendu ce que j’avais envie d’entendre, alors j’arrête de bouger et je le laisse enfin trouver mes pieds… Qu’il est si content de trouver qu’il me les dévore avec envie…


Aalala… Ces putes, toutes les mêmes, timides au départ, puis on leur agite une carotte et elles finissent par se lâcher et faire péter les barrières psychologiques qu’elles se mettent elles-mêmes, et crachent tous leurs kiff juste pour le plaisir de venir me vénérer…


Je suis content de lui. Je pensais passer ici en coup de vent, et au final ce soumis me fait bien tripper. Je m’assois sur le tapis, et lui ordonne de remonter le long de ma jambe… Il va enfin trouver mes couilles, et je lui fais les gober, les lécher, les sucer… Je pose sa tête sur ma cuisse, lui mets mes deux couilles dans la bouche et lui dit de rester sagement là.

Pour de vrai, je pourrais rester des heures comme ça, avec sa bouche qui tient mes couilles au chaud… J’aurais pu mater un film comme ça si on se connaissait mieux… Mais j’ai d’autres projets pour lui aujourd’hui.


Il est allongé entre mes jambes, et sur mon ordre entreprend de me lécher la queue sur toute sa longueur… Hum le pied. Je finis évidemment par lui choper la tête et l’enfoncer sur ma bite en lui calant direct bien au fond…

Je sens qu’il galère, alors je le laisse me pomper à son rythme un petit peu, puis très rapidement je reprends les choses en main et lui bourre la bouche en bloquant bien au fond régulièrement, jusqu’à ce que j’arrive enfin à passer la glotte et à kiffer dans sa gorge.

Il s’étouffe, râle, manque un peu d’air, et doit surement avoir des larmes qui commencent à couler… Mais je m’en fou, ça sert à ça un bâtard, alors je lui fais encaisser comme je veux plusieurs fois d’affilé… Il fatigue, couine, respire fort et chiale un peu. Je suis fier de voir ma queue le démonter comme ça… Qu’il comprenne qui commande ici. J’en ai une trique deux fois plus forte…


Comme il bande aussi comme un malade, et pour le récompenser, je lui autorise à se frotter la queue contre mon tibia… Et comme il semble marquer un temps d’arrêt, je lui colle une bonne baffe qui lui fait oublier ses doutes et m’obéir direct.

« Réfléchi pas quand j’te donne un ordre, t’appliques direct et tu la fermes. Ouai t’as l’air très con à t’exciter contre la jambe de ton Boss, mais tu vaux pas mieux. C’est ta place de chienne. Compris ?

- Oui, Pardon Monsieur.

- Enlève ton bandeau et vient me lécher le cul sous-merde ! »

Il me lève les jambes, et commence à approcher sa langue de mon cul… Putain, j’adore voir un mec sous mes ordres venir me lécher le cul… Je fixe son regard, et il n’ose pas le soutenir longtemps et baisse les yeux, l’incitant à se concentrer sur ma rosette…

« Vas-y fait moi du bien… Montre de quoi t’es capable pour moi. Bouffe moi le cul, c’est ta rôle de sous-merde ! »

Encouragé, il y va franco et me dévore le fion. Il lèche comme si sa vie en dépendait, tente de bien rentrer sa langue à fond, et je lui choppe la tête en l’appuyant encore plus. Il manque d’air, mais me fait prendre un bon pied pendant un moment.


Je finis par le repousser, et lui envoie capote et gel à gueule.


« Rend toi utile, montre moi que t’es capable de me faire prendre mon pied bâtard ! »

Ca fait un moment que je matte sa queue qui sort du jock, qu’il a plutôt XXL, et son bouffage de cul m’a grave donné envie de me la faire. Je le pousse sur le dos à même le sol, lui travaille les tétons le temps qu’il vire son jock strap et s’encapote. Ca le fait couiner, j’adore… Et comme il m’a bien dilaté avec sa langue, je m’enfonce d’un coup sur sa queue tout en prenant appui sur son visage de façon à bien lui écraser la face. Il ne contrôle rien du tout, et fini en trois secondes au fond de mon super cul… Putain j’adore sa queue, droite, longue et bien large : tout ce que j’aime. Il a intérêt à être endurant.


J’ondule sur sa queue en lui crachant régulièrement au visage et en le couvrant d’insultes. Il me fait prendre un pied de fou. Sa queue frotte ma prostate régulièrement, et sous mes encouragements il commence aussi à mettre de grand coups de queue en cadence avec mes propres va-et-vient.

Je sens sa respiration qui s’accélère, et comme il hors de question qu’il jouisse trop vite, je me pose sur lui en arrêtant de bouger, et j’entreprends d’un coup de lui tordre à fond les deux tétons.

Son visage se fige de douleur, il reste bloqué la bouche à moitié ouverte et couine d’un coup. Je le fixe dans les yeux et lui explique, sans lâcher ses tétines, qu’il aura toujours l’interdiction de jouir sans mon autorisation, et qu’il devra toujours me prévenir quand il sent que ça vient… Et devra se retenir tant que je ne l’y autorise pas.

Il me sort un « oui… monsieur… » entre deux râles plaintifs, avant que je relâche ses tétons et appuie fortement dessus pour faire redescendre la douleur rapidement…


Je me lève, prend dans mon sac un gode, et lui lance en disant :

« Tu sers à rien, tu vas jouir en deux minutes comme un pauvre merde qui peut pas se retenir assez pour offrir un vrai kiff a son Maître. Tu vas me goder et te concentrer sur mon plaisir plutôt que sur le tien pauvre merde ! »

Il a l’air dépité. Sa queue bande à fond, et pourtant il se fait violence et vient me goder en suivant mes ordres. Il y va petit à petit, puis fait de grands gestes amples qui me font kiffer à mort. Je sens vraiment le plaisir monter, et d’un coup je le repousse sur le dos et me recale sa queue dure comme du béton dans le cul. Et tout en recommençant tranquillement de petits va-et-vient tout en douceur, je lui ordonne d’embrasser ma main, la main de son Maître qu’il adore… Excité comme il est, il lèche, embrasse, et roule des patins à mes doigts comme la meilleure des pétasses, et je lui ordonne alors de me branler pendant que je continue de me faire du bien sur mon gode vivant.


Il y a rien a redire, je prends un pied d’enfer. J’ai chopé un soumis vraiment kiffant là. Bien à sa place de sous-homme, et efficace comme j’aime. Je suis tellement excité que je deviens plus agressif dans mes paroles et le traite vraiment comme un moins que rien. Il commence à bégayer qu’il va jouir et semble tout faire pour essayer de se calmer vu que je ne l’y autorise pas. Je fais encore durer le plaisir un peu, et quand je sens que je vais jouir aussi, je lui donne le go pour me niquer autant qu’il veut et me faire jouir, quitte à ce que lui aussi jouisse. Il se déchaine, autant du poignet sur ma queue qu’en me donnant de grands coups de reins qui me font grimper au 7e ciel. Et alors qu’il se crispe dans un râle profond et que je le sens se vider dans la capote, je vire sa main de ma queue, prend le relais, et choppe sa tête de mon autre main pour la relever face à ma bite, et lui éjacule abondamment sur le haut du torse et le visage…


Huuuum putain j’en tremble encore tellement j’ai joui fort.

Je commence à étaler mon foutre sur son visage, et il se laisse faire… Y’a rien de plus beau qu’un soumis avec mon foutre étalé sur la tronche.

« Tient le bon jus de ton Maître sur la gueule. T’es content ma pute ? Tu vas le garder jusqu’à ce soir. Remercie moi

- Oui merci Monsieur

- Bon bâtard » dis-je en m’essuyant les doigts dans ses cheveux…


Je sais qu’il est en redescente. C’est le moment crucial où je vais savoir à quel point il est soumis… Va-t-il tout à coup galérer à rester en mode sous-merde docile, ou va-t-il rester dans le trip ?


Le meilleur moyen de l’inciter est de ne pas lui laisser le choix. Je me relève, chope la capote pleine de sa jute de bâtard, m’affale dans le canapé et lui dis de venir s’asseoir par terre dos à mes jambes. Je choppe sa tête, et la reverse en arrière sur le bord du canapé et le bloque entre mes cuisses.

« Ouvre la bouche bâtard »

Je lui crache dans la bouche et le force à avaler

« Tu vas bouffer ta jute de sous-merde pour rien polluer bâtard » Et avant même sa réponse, je vide dans sa gueule le contenu de sa capote, et le force à avaler.

« C’est bien salope ». Et je le laisse coincé comme ça entre mes cuisses pour qu’il profite bien du goût de son propre foutre encore un moment pendant que je redescends tranquilou.


Bon aller, faut que je bouge sinon j’vais m’assoupir avec cette pute entre les cuisses.

Je me lève et lui ordonne rester aux pieds pendant que j’me rhabille.


« Monsieur ?

- Oui quoi bâtard ?

- Vous voulez rester un peu ?

- Non sale pute, j’ai pas que ça a foutre »

Il semble déçu, et pour de vrai, j’apprécie vraiment sa réflexion, il marque encore des points. Mais pas grave, il s’en remettra cette pute, et au pire le frustrer un peu le rendra plus accro. C’est pas plus mal.


Il continue a me lécher les pieds jusqu’à ce que j’ai remis mes shoes, puis je lui dis de se rhabiller en se grouillant alors que je finis mettre mon haut et récupérer mes trucs.

Il est habillé à genoux devant moi, il est moins beau sans son collier je trouve…Je choppe mon sac, et vais vers la porte alors qu’il me suis à quatre pattes. En passant devant la sdb, je le prends par la tignasse et le guide de force dans la douche. Je sors ma queue et lui pisse sur la gueule direct, en le trempant de la tête aux pieds. Il ferme les yeux, essaye de se protéger, alors même que je lui ordonne de se tourner vers moi. Ça me soulerait presque.

« Aller ciao sous-merde. Prend pas d’assurance, c’est juste là que t’es à ta place »

Je tourne les talons et j’me casse en claquant la porte, alors qu’il est encore dans sa douche, trempé, à mariner dans ma pisse.

…Je l’ai souvent revu pendant longtemps et ma première intuition était bonne : il avait un potentiel énorme et je lui en ai fait voir de toutes les couleurs. Un pur kiff ce soumis. Je vous raconterai peut-être la suite un autre jour si vous le demandez.

Cédric Chaud [Xtoire par Louis-Gérard]

 [Source : https://cyrillo.biz/histoire-gay-2025-Louis-Gerard-Cedric-chaud-Chapitre-1.php]

Je viens d’avoir 20 ans et j’aime les hommes. Mais les hommes dominateurs et qui ont disons une belle bite et de bonnes idées de soumission. Moi je suis plutôt genre petit avec le gros désavantage d’être ou de me sentir quelconque. Genre vilain petit canard.

Depuis tout gamin j’aime les mecs mais sans trouver le bon et je me tourne de plus en plus vers les blacks et les beurs, mieux montés selon moi mais pas encore trouvé un mec qui aime imposer ses idées sexuelles. Dans ma ville il y a peu de blacks ou de beurs. J’avais via un réseau gay eu un contact qui m’avait excité en me montrant des photos de ses pratiques et sans être loin il n’était pas à côté.

Trop excité j’ai réfléchi, il pouvait héberger, préférant prendre son temps avec le jouet qu’il aimerait que je sois. Le terme jouet a tout lâché en moi et j’ai dit banco.

Profitant d’un pont au travail et avec son accord on s’est fixé RDV à la gare de chez lui.

-Pour le moment je suis Max et viens mains vides en short, tee-shirt et tennis. Court et même très court le short, ok ?

Ok je mate les horaires et j’ai un train ce soir, arrivée 21heures. Je vous reconnais comment ?

-T’occupes, il ne doit pas y avoir beaucoup de mecs en short et sans sac qui vont descendre je te repérerais. Une chose importante, lave l’intérieur de ton cul.

Il sera propre Max.

Excité je suis passé à la douche et fait un lavement dans la douche pour être nickel et une fois sec j’ai enfilé un slip lycra assez serré pour cacher que j’étais en chaleur, un tee-shirt et des tennis sans mettre de chaussettes. Juste avec mes papiers et du fric pour un aller-retour je suis parti à la gare. Le train était à l’heure et je suis parti des idées plein la tête.

Deux heures plus tard j’arrivais et comme un imbécile j’hésitais encore. Je suis descendu du train. Matant partout je ne le voyais pas et j’ai cru à un lapin. J’ai décidé de me balader dans la ville puisque c’était raté. J’étais déçu. En sortant un mec regardait les gens sortir et s’est approché.

-Cédric ?

Oui, tu es Max ?

-Monsieur Max oui.

Le mec avait les yeux en amande vert gris, les cheveux frisés, un peu plus grand que moi, les paupières tombantes. Pas de doutes il était beur.

-Va par là il y a les chiottes de la gare.


Deux chiottes fermées ou il m’a poussé dans l’un.

-Vire ton short et ton slip.

Sa voix était rauque et dure et j’ai ôté les deux.

-Tourne sur toi-même et relève le tee-shirt aux épaules.

J’étais peu poilu et ma nouille était en berne.

-Accroupi toi et dégage ma queue. C’est ici que tu vas faire connaissance à quoi tu vas obéir. Devant moi la braguette était gonflée et j’ai descendu le zip. Le rouge du slip était taché d’humidité et j’ai bien senti l’odeur sexuelle que ça dégageait. Passant la main à la ceinture j’ai pu baisser le tissu et le sexe a jailli du slip. Aussi épais que ce que j’avais vu sur le net mais en vrai. Pas de prépuce mais le gland raide était imposant. Il était long, plus long que le mien sans peine.

-Aller suce ! Je ne veux pas sentir tes dents mais ton palais et ta langue.

J’ai tiré un peu la tige vers moi et commencé à sucer. Il sentait fort le sexe et un peu la pisse mais j’aimais nettoyer une bite qui irait surement dans mes fesses après.

-Stoppe petite salope, relève-toi, tourne-toi et appuie-toi au mur cuisses écartées. Si t’as envie de devenir MA lope je vais te prendre juste avec ma salive. Tu auras mal mais c’est le début.

Il a passé le gland humide entre mes fesses et lentement a pénétré mon cul.

Je me suis mordu les lèvres de souffrance et de plaisir. Il allait loin en moi. La fermeture éclair de son jean appuyait à chaque fois sur mes fesses. Il ne voulait pas jouir dans mes fesses et m’a brusquement retourné et appuyé sur les épaules.

-Bouffe ma queue et la crème. Ne perd rien.

Je n’ai pas eu de grands mouvements à faire et il m’a repoussé pour gicler sur mon visage.

-Petite lope tu devrais être acceptable. Ramasse ton slip et essuie ta tronche. Tu le remets après et ton short, je t’emmène chez moi.

Le slip n’essuyait pas grand-chose mais a plutôt étalé son foutre et quand je l’ai remis il a fait des taches humides sur le short. Il faisait sombre dehors et je me fichais de ce que les gens pensaient, j’avais un mec assez direct. On s’est éloigné de la gare en passant par-dessous dans un couloir mal éclairé et le quartier changeait. Barres d’immeubles qui se succédaient et mecs assis sur le dossier des bancs qui mataient.

Eux ont bien remarqué les taches.

-Tu ramènes une nouvelle lopette ?


Il a ri.

-Yes les mecs et il va gueuler comme les autres. Vous l’aurez peut-être s’il est assez obéissant. Il me poussait par les fesses vers l’entrée de sa barre.

-Monte au deuxième et attend à la porte j’arrive.

Je l’ai vu aller parler aux mecs et perdu de vue dans la montée. Il est arrivé et a ouvert la porte.

-Entre et va au fond il n’y a que mes frères ici.

Au fond, la porte ouverte une longue table avec des anneaux autour et des trucs sur des étagères. Une porte devait donner sur une armoire. Le plafond n’était pas haut mais j’ai vu un palan accroché sur un rail.

-Tu attends quoi ! Allonge-toi sur la table. Sur le dos. Laisse-toi faire je crois que c’est ce que tu cherches !


Docile je me suis allongé et l’ai laissé poser des menottes en cuir à chacun de mes poignets et les fixer à un anneau du haut. Je bandais comme un fou. Quand il a fait de même à mes chevilles cette fois attachées aux pieds de la table, écartant mes cuisses et me faisant creuser le ventre. Il a approché une petite table et a ôté son jean et son sweat. Je voyais cette fois son slip tendu par le sexe.

-Intéressé lopette ? Tu l’as déjà goûtée volontairement. On va commencer par te faire perdre ta pudeur de petit mâle. Vous venez le voir les frérots ?

Deux mecs plus jeunes que lui sont entrés.

-Il sait pourquoi il est là ?

-C’est lui qui me l’a demandé.

Je bandais moins, surpris par leur arrivée. Surtout que je voyais leur entre jambe gonfler.

- Bon voyons ce que tu caches là-dessous. Il a pris un ciseau et a découpé les côtés de mon short, rabattant le dessus entre mes cuisses. Tu pues le foutre et t’as mouillé ton slip. En plus tu as des poils qui dépassent ! On va arranger ça mais d’abord il faut te raser les cheveux pour faire vraiment salope.

Mais je dois rentrer après-demain.

-Tu inventes un truc et tu l’envoies par SMS à ton père. Je vais taper pour toi. Dis-lui qu’un pote t’invite à Megève pour le mois. File ton numéro, non pas la peine il est dans les favoris. Il a tapé ce qu’il voulait et m’a montré avant d’envoyer. Ok ? C’est parti.

Je ne l’ai pas vu faire mais il a dû brancher une tondeuse, j’ai entendu le bruit et les lames passer sur mon crâne. J’ai fermé les yeux pour ne pas recevoir de petits cheveux. Ses frangins rigolaient.

-Taisez-vous ! Matez mais en silence, ça lui du temps, soulevant ma tête pour faire l’arrière et il a passé un blaireau sur mon visage pour ôter les poils. Ahmed, passe-moi le feutre.

J’ai senti le feutre passer sur le haut de mon front.

-Comme ça on verra ce que tu es. Toujours d’accord pour obéir à ton mec ?

Je suis venu pour ça.

-Ok on va voir ta nouille de petit bâtard.

Il a repris le ciseau et a découpé la ceinture du slip de chaque côté et l’a baissé devant. Je n’étais pas fier mais j’en avais envie alors j’assumais. Il a eu un sourire en fixant ma queue. Mignonne avec ton prépuce et comme ça je vois que tu aimes, une perle pointe du bout. Là aussi tu me donnes du travail mais je n’aime pas les poils sur mes bâtards. La tondeuse a ronronné et mon pubis a été blanchi. Même loin entre les couilles. Plus nu que nu, je n’avais jamais osé le faire.

-Ali tu passes l’aspirateur ? On va se mettre nu qu’il voie comment un beur est monté. Je suis sûr qu’il a envie de sucer nos bites comme une vraie lopette.

Tous les trois étaient bien montés, le pire ou le meilleur était Max. Ils sont montés sur la table l’un après l’autre se faire sucer, forçant ma bouche, allant loin dans la gorge. Ils ont joui assez vite me barbouillant le visage en sortant.

-Tu vas te retourner de toi-même ou on te tient ?

Au point où j’en étais une fois libre des anneaux j’ai opéré un demi-tour sur moi, la bite contre la table. Ils m’ont rattaché. Les cuisses écartées Ils ont ouvert mes fesses en force pour mater mon cul.

Ton trou s’est refermé depuis tout à l’heure à la gare. Mais tu as encore des poils au cul. La tondeuse est entrée en action et j’ai frémis. Tous allaient voir et me traiter le cul comme la chatte d’une femme.

-Là, cette fois tu es une fiotte comme on les aime.

Il a passé une large ceinture sur mes reins qu’il a serré, plaquant mon ventre sur la table et s’est installé à cheval sur mon dos pour fesser les fesses et le trou qu’il devait bien voir. Avant de tirer mes couilles entre mes cuisses et les tapoter. J’ai eu des sursauts mais tenu comme j’étais-je ne pouvais que subir. Involontairement j’ai bandé et bavé avant qu’il arrête.

On va te détacher, nu, tu n’iras pas loin. Pour ce soir tu porteras une djellabah sans rien dessous. On va discuter avec les potes du banc. Salope ! Tu bandes ? Cool ils vont adorer. Ne leur refuse rien s’ils veulent voir ou se faire sucer ! Ton cul sera pour nous ce soir. Ali passe-moi les embouts de tétons à poire. J’ai aspiré un grand coup quand il a les a posés. Aller enfile ça, elle est pour femme mais ira très bien pour toi. En plus avec les embouts tu as une sorte de poitrine pointée. Mets ces mules aux pieds, pour descendre ça ira. Pour remonter tu les ôteras pour pas tomber.

Je n’étais pas fier du tout en descendant, nu sous la djellabah avec les tétons aspirés qui faisaient une sorte de seins. Les mecs sur le banc nous ont vu venir et il y a eu des sifflets et en approchant je les ai vu mater mon crâne rasé.

-Baisse un peu la tête qu’on voit bien ce que Max a écrit. Lopette ? On ne s’en serait pas douté. Matez le rougir ! Tu montres tes fesses ? Ne fais pas ta sucrée. T’aimes les mecs et on est là pour baiser nous. Max fous lui une baffe qu’elle comprenne qu’on ne rigole pas.


Je n’ai pas eu le temps de me protéger que la baffe claquait.

-Tu n’as pas entendu ? Relève la djellabah sur tes fesses.

Avec les frangins ils étaient sept à mater mes fesses lisses. Je n’ai pas tenu et j’ai commencé à bander.

-Ecarte lui les fesses qu’on mate bien son cul. Tu as surement déjà dû le baiser !

La honte mais je le voulais et ce n’étais pas pareil. J’ai fermé les yeux quand j’ai senti un doigt passer dans ma raie et sur mon anus entrouvert.

-Je pense que quand tu l’auras cassée mentalement elle sera à disposition ?

-Il est venu de lui-même et donc consentant et moi et mes frères on va lui ouvrir les trous et s’occuper de ce qui lui sert pour pisser.

Les mots entendus ont déclenché une goutte da bave de mon sexe raide.

-Pour être consentant il l’est ! Rentre-le ou on le viol sur le banc.

-S’il vous excite tant mieux. Tu as entendu toi ? Cache ton cul on rentre. Ils se branleront bien ce soir.

Une fois à l’appartement j’ai dû retirer la djellabah et ils ont ôté les suceurs de tétons. Je les ai frottés, ils étaient douloureux.

-Qui le prends le premier moi je sais que son cul est bien chaud et encore serré.

-On n’attache pas son zob qu’il ait du mal à jouir ?

-Oui en effet va chercher le slip cuir. C’est comment ton prénom de pouf ?

Cédric.

-Tu as amené ta carte d’identité ?

Oui bien sur elle est dans mon short.

-Demain on ira prendre des photos de ta nouvelle tronche et tu feras un passeport.

J’ai dû avoir l’air interrogatif.

-Pour l’Egypte il en faut un. Ah voilà ton nouveau slip. Passe les cuisses dans chaque ouverture.

Il a serré une ceinture au niveau des hanches. J’avais la queue à l’air. Avec de petits bracelets cousus sur le devant du slip puis il a attaché mon sexe serré contre le cuir. Le gland dépassait et les couilles aussi. En revanche mon cul était libre. Ali s’est mis derrière moi et a craché sur son gland avant de le mettre dans mes fesses. J’ai un peu serré les dents mais bon je voulais ça aussi. Ben (j’ai su plus tard son prénom) est monté sur une chaise et j’avais son sexe face à moi.

-Montre-moi tes talents de suceuse, tu dois aimer ça aussi.

Ouvrant la bouche j’ai avancé pour l’avoir dans la bouche et serré les lèvres, entamant une fellation. J’adorais ça.

Max, vicieux a passé un doigt sur mon gland qu’il avait décalotté sans peine, je mouillais pas mal et juste du doigt a caressé le gland, tournant autour, insistant sur l’ouverture.

Ma queue serrée me faisait mal mais je bandais encore plus. Il me surveillait et arrêtait au moment où j’allais jouir, à mon désespoir.

-Pour empêcher que je tu te touches je vais attacher tes poignets au collier que je vais poser.

Cette fois je me sentais vraiment à leur service et rempli bouche et cul sa main a recommencé son manège sur le gland, visant le trou qui bavait. Je gigotais mais peu, maintenu par les bites des frères. L’envie de jouir montait. Il s’en est bien rendu compte et m’a donné des petits coups sur les couilles, m’empalant encore plus sur la bite dans le cul. Ali ne s’est pas retenu et j’ai senti sa tige grossir en remplissant mon cul. Ben ne s’est pas retenu non plus et j’ai eu son jus dans la bouche.

-Avale lopette ! Le jus de beur ne se refuse pas.

J’ai avalé son sperme gras et il est descendu de la chaise.

-T’as prévu quoi pour lui ?

-Il va devoir garder son jus. La pire des punitions, l’éjaculation retenue. Tu vois je ne fais qu’agacer son gland et au moment où je le vois juste près à jouir, j’arrête. Le jeu peut durer très longtemps. Passe-moi son slip que j’ai découpé et toi garde bien la bouche ouverte ! Regarde là où il a bavé et où je me suis essuyé, je l’enfonce dans sa bouche pour qu’il ne couine pas mais qu’il ait l’odeur de sa bave et de mon foutre.

Il avait cessé de frotter mon gland et Ali matait aussi. L’odeur enivrante pour moi juste sous mon nez. Il a défait le slip et il est sorti, revenant avec un panier de pinces à linge.

-Tu sais qu’on peut pincer ce qu’on veut avec, tes tétons par exemple.

J’ai senti la morsure de la pince et très vite la deuxième à l’opposé.

-Il y a des endroits plus sensibles.

Cette fois il a tiré sur le prépuce pour glisser une pince sur la peau. J’ai râlé étouffé par le slip mais il a continué à en poser tout autour. Je ne bandais plus et il a remué les pinces en riant.

-Tu vas aimer. Ben va ramener un slip de grand père que tu vas garder sur la bite et les pinces.

Oh la sensation ! Au moindre mouvement les pinces bougeaient contre le tissu et je sentais que je bavais comme le bâtard que j’étais.

-Vous avez remarqué, surtout toi Ali que son trou résistait en entrant mais qu’après il était large. Donc c’est à cet endroit qu’il jouit de savoir une bite remuer dans ses fesses. Le frottement de la bite après est juste intéressant quand le calibre est gros, sinon pour le maintenir juste entre le moment où il va jouir et avant, le mieux c’est de pénétrer son cul et de le sortir aussitôt. Il est frustré et tu verras son anus palpiter d’envie. Tu peux avec le doigt ou la queue et bien ouvert la main et le poing. On te détache mais tu mets la djellaba sans toucher au slip, on va descendre à la cave.

Dans l’escalier la djellabah faisait bouger le slip et donc les pinces. On a rencontré personne avant d’entrer dans leur cave. Vaste et encombrée, dans un coin un vieux divan, au centre un poteau en béton rond. Vire le tissu tu le salope en mouillant.

J’ai fait passer la tête par-dessus, une fois encore avec ce slip et large et les pinces Max a décalotté mon gland faisant sauter toutes les pinces d’un coup. J’ai vraiment crié de douleur.

-Tu as mal ? Tu veux que j’arrête ? Pas de problème j’ouvre la porte et tu te barres nu tes fringues déchirées à la main.

Non Max je suis venu pour ça mais j’ai eu très mal et ça passe.

-On va te lier les mains autour du poteau et les frères vont te baiser mais comme je leur ai dit, entrer d’un coup sec, attendre, limer deux ou trois fois et se retirer. Attendre un moment et sans prévenir t’enculer à nouveau et ils feront ça autant de fois que tu décideras avant de nous dire qu’on est tes maîtres, prêt à donner un trou quand on te le dit. Ben, passe-lui la cagoule et on le baise en silence. Il peut gueuler tant qu’il n’avoue pas qu’il est notre bâtard près à tout.


Une fois cagoulé et les pieds et les poignets entravés au poteau, j’attendais un peu crispé mais d’un coup un gland est venu se bloquer dans mon anus, le tenant ouvert puis limer quelques coups et se retirer. Mon gland frottait le poteau mais déjà sans un mot un gland est juste entré, restant à l’endroit le plus large et après un moment m’a limé avant de se retirer d’un coup sec. J’ai poussé un long gémissement, Max savait dresser et j’ai dû jouir contre le poteau au bout de trois fois les deux pénétrations intenses.

Arrêtez, c’est bon je serais votre lopette, votre bâtard à vous trois. Mais s’il vous plait baisez moi à fond, j’en ai besoin !

-Tais-toi, tes besoins on s’en fiche c’est les nôtres que tu vas satisfaire.

Tranquillement ils m’ont pissé dessus, arrosant mes fesses et cette fois m’ont baisé à fond le cul l’un après l’autre. Une fois détaché Max m’a montré une évacuation dans le coin de la cave. Je bandais et j’ai pissé devant eux, encore un peu gêné.

-Branle toi bâtard et gicle dans l’évacuation.

J’ai obéi et ce ne fut pas long. Max a mis la main devant et m’a fait sucer ses doigts enduits de mon jus.

-Bien, Tu as vu le canapé, tu dormiras dessus, attaché bien sûr, et une cagoule sur le visage. Tu pourras respirer il y a un trou pour la bouche et une bite si besoin. T’as une couverture berbère sur mes reins et les épaules. Tu auras envie de te gratter mais les mains resteront liées dans le dos. On te laisse porte fermée non verrouillée. Sans la lampe tu ne pourras savoir l’heure. On viendra te chercher demain.

-Dors bien bâtard.

dimanche 21 août 2022

La carte des lopes (rappel)

 J'ai désactivé la Karte des Domis et soumis qui me prenait trop temps à gérer. Par contre je vous rappelle qu'il existe le catalope, très utile si vous êtes de passage en vacances. Le catalope reprend aussi les lieux de drague. 

Merci à MaSter PolaK pour ce travail.

Arnaud S.


Karte des Points Chauds réactivée

Bonjour ! Google a désactivé la Karte des points chauds, qui faisait un inventaire des lieux de dragues et des lieux insolites pour baiser entre mecs. Cette Karte était très appréciée des routiers. J'ai mis en ligne une copie plus "discrète"

mercredi 19 mai 2021

DiScipline 4 boyS [Fan2 FeSSeS bien rougeS]

 Je ne dirai jamais assez mon admiration pour D4B. C'est toujours avec plaisir que j'en retrouve sur les sites. Ils ont été la source d'inspiration de nombreuses vidéos.

Arnaud S.


eSclave seXuel d'un groupe de garçonS [Xtoire par Marcanus 41a]

[ Source : Histoires Taboues ]

Introduction :

C’est une histoire de viol et d’esclavage sexuel d’un étudiant hétérosexuel. Si ce genre de choses vous offense, ne le lisez pas. Tous les personnages sont âgés de 18 ans ou plus.

« C’est lui. »

J’ai regardé à travers les jumelles, et j’ai vu un mince et blond aux yeux bleus, en short de course et en baskets, avec son t-shirt enlevé et rembourré à l’arrière de son short. Il avait une excellente définition, mais pas de masse pour parler. Il portait des cheveux mi-longs et un peu hirsutes. Elle était suspendue au-dessus d’un œil.

Je savais, d’après les recherches de Frank, qu’il mesurait 1m75 et 70 kg. Pas de graisse corporelle visible. Selon les filles qui sont sorties avec lui, sa bite était légèrement au-dessus de la moyenne. Ça n’a pas d’importance. Il n’en aurait pas beaucoup d’utilité.

Un étudiant de première année ici au collège, mais qui n’avait pas rejoint une Fraternité. Il vivait à l’extérieur du campus. Pas de colocataire. Il avait de bonnes notes, mais n’était pas distingué et inaperçu, sur le plan académique.

Il avait une fausse carte d’identité, donc il pouvait sortir boire une bière, mais il ne s’est jamais soûlé. Il n’en a presque jamais eu plus d’un. Il n’a pas causé d’ennuis dans les bars et n’est pas beaucoup socialisé. Il se contentait de s’asseoir et d’allaiter sa bière, de draguer une ou deux filles parfois, et de retourner à son appartement.

Il avait joué au soccer à l’école secondaire, mais n’avait pas fait de sport à l’université. Il se déplaçait à bicyclette. Du moins, il l’était depuis le début du printemps. Ce qu’il avait fait pendant l’hiver, nous ne le savions pas et nous ne nous en souciions pas.

Il a eu beaucoup de rendez-vous avec des filles au début de l’année, et n’a pas eu de difficulté à s’envoyer en l’air. Mais les filles avaient compris quel trou du cul il était, et la nouvelle s’était répandue. Il n’avait pas eu de rendez-vous depuis des mois, ce qui était probablement l’une des raisons pour lesquelles il avait glissé un doigt à une fille et l’avait violée.

Le tribunal a jugé que les preuves étaient insuffisantes, alors il s’en est tiré indemne. Il n’est peut-être pas allé en prison, mais l’incident lui a coûté les trois amis masculins qu’il avait eus. Les filles ne s’approcheraient pas de lui.

Il était parfait pour nous. 

Nous quatre, nous cherchions à gagner beaucoup d’argent en produisant du porno gay. Mais pas n’importe quel porno gay. Du porno gay pervers, méchant et même violent. Comme vous voyez de la Russie et de l’Europe de l’Est.

On s’est dit qu’on s’est trouvé un créneau. La plupart des pornos qui étaient censés être violés ou non consensuels étaient boiteux, parce qu’il était clair que la victime ne s’en souciait pas. Aucun de ces gens n’est acteur, bien sûr. On s’est donc dit que si on violait vraiment quelqu’un (idéalement, un garçon hétérosexuel, qui serait moins susceptible d’y entrer), ce serait beaucoup plus intense et, eh bien… réel.

Le problème, bien sûr, était de vendre le porno résultant sans se faire arrêter. Nous estimions que nous avions une solution à ce problème. Si on se trompait, on ne sortirait pas de vidéo.

Nous avons décidé que notre victime devait être un garçon hétérosexuel, mignon et vulnérable. Définitivement, pas quelqu’un avec une sorte d’arts martiaux ou d’autodéfense. Nous ne voulions pas foutre en l’air la vie de quelqu’un qui était une bonne personne, alors notre cible devait mériter (à notre avis) de ce que nous allions lui faire.

Ce type mesurait peut-être quelques centimètres de plus que le profil initial de victime demandé, mais nous étions tous de grands hommes, alors nous avons pensé que cela ressemblerait probablement à un jumelage plus équitable. Hah!!!

Nous étions quatre. On a tous fait de l’exercice. Aucun d’entre nous ne pesait moins de 70 kgs ou plus de 5 % de graisse corporelle. Nous avons tous reçu une formation en arts martiaux. On avait tous de grosses bites. Et nous aimions tous le sexe de pouvoir.

« Connaissons-nous ses plans pour les vacances de printemps ? » J’ai demandé à Frank.

« Oui. Il n’en a pas. Depuis l’incident du viol, même ses parents l’ont renié. Ils paient toujours pour son université, mais c’est tout. Il n’a pas l’argent pour voyager, alors il reste ici, dans son petit appartement. »

« Alors, suggérons gentiment qu’il passe ses vacances de printemps avec nous. »

« Ou plus longtemps, si nous décidons de le garder, » dit Frank.

Rires généraux tout autour.

Nous avions été prudents. Nous savions qu’il ignorait tout de nous. Pourtant, nous savions tout ce que nous avions besoin de savoir sur lui, y compris son emploi du temps et ses habitudes. 


L’après-midi suivant était le dernier jour de classe avant la semaine de relâche. Il rentrait toujours chez lui à bicyclette, à travers une forêt importante qui se trouvait entre le campus et la ville où il avait trouvé son appartement bon marché.

C’était une route très fréquentée pendant la journée. Mais une fois les cours et la course à la maison de l’après-midi terminé (vers 17 h), les sentiers à travers la forêt étaient pratiquement déserts.

Alors, Frank a dégonflé, puis crevé le pneu arrière de notre victime, alors qu’il était dans sa dernière classe. Sa roue arrière n’avait pas de dégagement rapide, de sorte qu’il lui fallait plus de temps pour enlever, réparer, gonfler et remonter que le pneu avant.

Bien sûr, le petit merdeux a passé près d’une heure à réparer son pneu, à râler et à jurer tout le temps. Le temps qu’il ait fini, il était presque 18 h. Quand nous l’avons « rencontré » dans la forêt, nous l’avions pour nous tout seuls.

Le chemin qu’il prenait toujours croisait un chemin de terre vers la fin de la forêt. À ce moment-là, il était presque à la maison, fatigué et en sueur. Et toujours en colère à cause du pneu, donc il ne faisait pas vraiment attention.

Notre fourgonnette noire était garée dans les bois, hors de la route. Personne n’était passé depuis près de 40 minutes. Nous avons fait installer nos Go Pros dans la zone où l’action se déroulerait. Nous ne voulions pas utiliser des caméras plus grandes, car nous ne voulions pas qu’il sache que nous tournions des vidéos.

Nous l’avons attrapé de son vélo à un virage serré dans la piste cyclable, où il a dû ralentir. Nous étions tous vêtus de shorts noirs et de bottes de travail à bout d’acier noir, plus des masques de ski noirs. Pas de chemises. Je dois dire que nous avions l’air très sexy, avec notre définition musculaire en plein écran.

Et ça correspondait à ce qu’il portait. Sauf que son short était rouge et qu’il portait des baskets. Sa chemise était dans son sac à dos, et son cadenas et sa chaîne étaient portés en diagonale sur sa poitrine.

J’ai saisi son sac à dos quand il est passé devant moi et je l’ai complètement retiré de son vélo. Quand il a touché le sol, je lui ai donné un coup de pied dans les couilles. Il a roulé alors que Frank a saisi le sac à dos et l’a retiré de lui. Mike a tiré ses bras derrière lui et a attaché chaque poignet au-dessus du coude opposé.

Il était encore dans une douleur terrible, complètement confus et désorienté, et il était déjà presque impuissant. Il s’est tordu et a donné des coups de pied avec ses jambes, sans effet. Mais ça avait l’air super sur les caméras ! Frank et Mark ont chacun attrapé un pied, écarté les jambes et verrouillé une barre d’écartement entre les genoux.

Il nous a finalement regardés pour la première fois. Quand il nous a vus, ses jolis yeux bleus se sont élargis de peur. Il n’avait pas encore fait le rapprochement, mais il savait qu’il était dans la merde.

« Ne me faites pas de mal, les gars ! »

Nous quatre, nous avons souri. Il n’y avait pas beaucoup de sourires à travers les masques de ski, mais assez pour faire gémir le petit bâtard. Mike a sorti son couteau de chasse de son fourreau et l’a laissé voir. La chienne a ouvert sa bouche pour crier, c’est à ce moment-là que Mark a enfoncé le bâillon d’araignée dans sa bouche et l’a verrouillé derrière sa tête.

Avec ses jambes écartées, ses bras liés derrière son dos, trois d’entre nous le tenant au sol (et les six caméras en marche), il ne pouvait rien faire, car Mark s’agenouillait à côté de lui et courait lentement le couteau le long de sa poitrine lisse et nue. Après cela, il s’est débattu et a gémi, mais il était complètement à notre merci, comme si nous en avions !

Mike a lentement passé le couteau de chasse sur la camelote de notre victime, ce qui l’a rendu très tendu. Tout son corps s’est rigidifié, ce qui montre bien ses muscles fléchissants. Les caméras adoreraient ça !

Mike a ensuite glissé la lame sous la jambe gauche de son short et l’a tranchée à travers la bande élastique à la taille. Il a ensuite fait la même chose du côté droit. Il avait tranché le jock du garçon, ainsi que son short, de sorte que lorsqu’il a lentement retiré le short, le jock est arrivé pour le trajet.

 Notre victime était maintenant nue, à l’exception de ses baskets et de ses chaussettes. Frank s’occupait d’eux calmement. Nous nous sommes éloignés de notre captif, pour laisser les caméras prendre la pleine vue. Sans s’en rendre compte, il coopérait gentiment, luttant pour se détendre, fléchissant ces muscles chauds et trempés de sueur, et regardant en panique de l’un d’entre nous à l’autre, avec ces yeux bleus larges et très terrifiés.


À ce moment-là, il espérait probablement être violé SEULEMENT. Mais on faisait un film. Nous avions besoin d’une histoire plus intéressante que ça !

Sa bite était joliment rétrécie, donc le moment était venu. Mark s’agenouilla à côté de lui et commença l’installation de la cage chirurgicale en acier inoxydable que nous avions commandée juste pour lui. Il n’y a que deux façons de l’enlever. Avec la clé, ou en lui coupant les couilles.

Le gamin ne voyait pas ce que Mark faisait, mais il le sentait. Le regard sur son visage était une combinaison de confusion et de peur, donc je ne pense pas qu’il comprenait exactement ce qui lui arrivait. Il le découvrirait bien assez tôt.

Frank a lancé une corde au-dessus d’une branche d’arbre, a roulé le garçon et a attaché une extrémité à la chaîne et à la serrure, qui était toujours suspendue par-dessus une épaule. Tirer la chaîne de l’épaule et au-dessus de sa tête l’a fait s’affaisser, centré sur ses bras liés. La chaîne lourde était un beau look pour les appareils photo !

Nous avons levé le gars sur ses pieds, alors qu’il continuait à lutter et à crier dans ses gags. Frank a tiré l’autre extrémité de la corde jusqu’à ce que les bras de notre victime soient tirés vers le haut et qu’il soit forcé de se pencher à la taille. Frank a ensuite attaché la corde autour d’un autre arbre.

Le garçon était maintenant sur ses pieds, nu, penché à la taille, les jambes écartées par la barre d’écartement à ses genoux. Son cul et sa bouche étaient à la hauteur parfaite pour un bon vieux rôti à la broche !

dimanche 7 mars 2021

"Sale" Quart d'heure pour le bâtard chez DomiAddict [Vidéo BrimadeS KradeS]

 


Très bonne séance vidéo où un bâtard se fait humilier par DomiAddict et ses potes.

 Attention, petit passage SCATO vers la fin, âmes sensibles s'abstenir.

J'espère que cela vous donnera envie d'en voir plus sur son site qui est dans mon Kiff'Ten :

https://www.domiaddict.com/accueil

Arnaud S.


Le "drône-training" : FétichiSme deS drôneS et des robotS [par X505 Droîd Unit ]

J'ai eu une grande discussion avec X505 Droid Unit, qui voulait se ficher S en tant que Drône. Je lui ai demandé d'écrire un petit article sur ce fétichisme que je ne connaissais pas. Il m'a envoyé quelques photos que vous pouvez retrouver dans l'album "Klebs & Kréatures".

Arnaud S.


Dans la grande famille de la soumission, une branche est consacrée aux soumis Drones et Robots. Il s'agit dans les grandes lignes d'une soumission tel un Maitre et son esclave sauf que dans ce cas là l'esclave, qui peut encore être considéré comme un humain inférieur est assimilé a un robot, un simple objet mécanique sans humanité. Physiquement parlant, le drone n'est plus considéré comme un humain et n'a plus aucune apparence humaine, c'est utile pour que le disque dur shifte et oublie l'ancienne vie. Souvent le corps est caché à l'intérieur d'une combinaison intégrale en latex agrémentée d'accessoires. Ce que j'aime bien là dedans c'est l'isolement. A l'intérieur d'un latex on se sent déjà isolé et en sécurité mais dans ce cas précis, les gens qui me voient de l'extérieur voient un objet et pas qu'il y'a un humain à l'intérieur et ce sentiment m'excite au plus haut point.



Coté excitation d'ailleurs, de façon générale les drones se reprogramment ensembles avec des fichiers hypnotiques en ligne tous connectés, à se vider la tête, obéir aux ordres avec de longs edgings pour que le programme soit plus profondément ancré, certains ajoutent même une stimulation anale pour une perte de contrôle totale car en effet, le Drone ne choisit pas et ne contrôle pas. Le fichier lui dit comment se masturber, quand se shooter, et la masturbation ainsi que la pénétration se fait de façon aléatoire et synchronisée entre toutes les unités sans contrôle. Pour ma part, j'ai utilisé l'hypnose pour désactiver tout plaisir, c'est a dire que lorsque je suis un robot, j'obéis sans érection, sans prendre de plaisir sexuel, je ne suis qu'une machine qui obéit aux ordres, un trou qui se fait pénétrer et remplir, rien d'autre. 



Enfin le Drone reste un soumis comme un autre, mais il perd totalement le contrôle de ses gestes. Lors de ma programmation, lorsque le Drone prends contrôle, mon humanité est prisonnière dans mon disque dur et mon corps obéit aux ordres sans que l'humain ne puisse interagir ou l'interrompre. Avec la pratique, le but ultime sera même que le drone soit en totale autonomie et que l'humain soit totalement absent des sessions d'utilisation. Je bouge comme un robot, je vis comme un robot, je parle comme un robot, et cela s'insinue aussi dans ma vie quotidienne, avec l'implantation de puces qui font que mon corps n'est plus totalement humain, pour me rappeler qui je suis au quotidien.



Pour résumer le Drone est un soumis comme un autre, sauf qu'il laisse total contrôle à son "Programmeur" et n'est plus considéré comme un sub-humain mais comme un simple objet. L'important dans cette branche de la soumission est la perte d'humanité à travers la tenue et la perte de contrôle à travers la programmation qui décide de tout pour l'objet. 

Par X505 Droid Unit 

drone.fetichiste@gmail.com

samedi 30 janvier 2021

ViSite SurpiSe d'une Krevette

 La Krevette n'est pas très crédible dans la surprise, et est trop visiblement consentante, mais j'ai bien aimé le scénario. L'étouffement avec le sac est à utiliser avec modération.

Arnaud S.


mardi 26 janvier 2021

Petite séance de torture en pleine nature [teKniK de bondage]

Deux grands bâtons et de la corde et le tour est joué : un bondage simple et efficace. La bougie et le chalumeau sont en option mais sont très persuasifs : gorge profonde assurée et belle éjaculation faciale. On espère qu'il laissera le soumis sécher au soleil.

[Attention, la vidéo commence après 45 secondes]

Arnaud S.