jeudi 30 avril 2020

AngeS et DémonS [Archives photos]

Je continue le transfert de mes photos d'archives de Erog vers Google. L'occasion pour moi de redécouvrir les oeuvres de Rob Unvicious.

Arnaud S.


45e jour de Konfinement : Le #ShampooChallenge sur Twitter

J'ai découvert le côté sexe de Twitter pendant le confinement.
Certains des challenges sont sympas, en particulier le #shampoochallenge qui consiste à faire une photo avec une bouteille de shampoing en équilibre sur son Zob.

C'est moins anthropique que le concours de Marguebite (voir rappel dans l'article précédent), mais c'est joli à regarder.

Petit Best Of :










Lancement du KonKourS : Marguebite, fleur du mâle [Archives]

[10 ans déjà : copie d'un article publié le 6/08/2010]

J'ai eu l'idée lors de ma dédicace à Yoplait : Je lance un grand concours "MARGUEBITE, la fleur du mâle"


Envoyez une photo de votre bite transformée en marguerite grâce à des épingles à linge judicieusement placées à sadic.arnaud@gmail.com avant le 31/08/2010.

Les photos seront publiées et soumises au vote du public en septembre.

A vos bites, prêt, partez !

Arnaud S.

PS : Photos reçues. Il est encore temps de m'envoyer vos photos !





 

dimanche 26 avril 2020

41e jour de Konfinement [Fan2 Rebeu Kiffeur]

En cette période de Ramadan et de Konfinement, c'est la double peine pour trouver du petit rebeu kiffeur. Il nous reste les souvenirs et la branlette !

Cette petite vidéo comporte tout ce que j'aime :
- branlette du Domi dans cho7 et TN
- le soumis prend cho7 et TN dans tous ses trous.
- le Domi a une voix ferme et douce

Bon dimanche !

Arnaud S.


Body and Soul de Crystal Pite [Koup de Koeur]

Ce spectacle de danse m'a permis de m'évader pour la première fois depuis le grand Konfinement.
Un grand merci à Crystal Pite et à ses danseurs, tous plus canons les uns que les autres...et des Kréatures en final !
Arnaud S.











jeudi 23 avril 2020

AggreSSé par un groupe de beurS [Xtoire]

[10 ans déja - Article publié le 1/06/2010]

Petite histoire sympa trouvée sur X-Story. Un condensé de tout ce que j'aime. Pitié, n'y voyez pas de racisme, le sauvageon "pur beurre" est une incarnation de la Virilité.


J'avais 24 ans à l'époque, marié 1 enfant et j'étais représentant pour une société de chaussures.
19h30, je rentrais chez moi après une journée de prospection commerciale. Presque arrivé à mon domicile, mal m'en a pris de faire un léger détour avec l'idée d'aller dire bonjour à un ami que je n'avais pas vu depuis 7 ou 8 ans, qui habitait dans une cité de la région lyonnaise. Je retrouve à peu près sans mal, le bâtiment où il habitait à l'époque. Je me gare avec le plaisir de peut-être retrouver cet ami après tant d'années. Je rentre dans celui-ci et commence à regarder sur les boites aux lettres si je retrouve le nom de ce copain, Jamel. Mais aucun nom ne me revenait dans ceux que je trouvais.
J'allais partir, un peu déçu quand j'entends derrière moi : alors qu'est-ce qui fait là le dandy ? ( j'étais en costume cravate )
Je me retourne et vois un groupe de cinq beurs de 15/17 ans environ. Je leur dit que je cherche un certain Jamel.
Il n'y en a pas me dit celui qui paraissait le plus âgé, tu dois te tromper !
Je le remercie et m'apprête à partir, en me dirigeant vers la porte. Pour ce faire, je devais passer au travers du groupe des beurs, mais arrivant à leur hauteur, ils ne me laissaient pas passer. Pardon leur dis-je.
Ou vas-tu si vite ? il est pressé le touriste me dit le même gars ? Il y a un droit de passage.
J'ai eu l'impression qu'ils allaient me racketter, mais il repris : tu vas nous faire une pipe !
Quoi ? mais vous êtes débiles !
A peine la phrase dite je me prends une claque par un des autres gars. Tu vas tous nous sucer, mignon !
Et là tout s'est accéléré, ils m'ont serré de près, saisi par les bras. Leur "chef" dit aux autres : A la cave, on sera plus tranquilles ! et me voila entraîné dans les escaliers qui devaient mener aux sous-sols. On arriva dans une cave, curieusement équipée de vieux fauteuils et d'une table dont les pieds avaient dû être coupés à 60 cm environ.
Foutez-le à poil, et laissez-lui le slip ! on verra plus tard. Je commençais sérieusement à être inquiet de cette situation. En quelques instants je me retrouvait en slip, et ils me forcèrent à m'allonger sur le dos sur la table, puis ils m'y bloquèrent avec 2 sangles.
Leur chef, Mouloud d'après ce que j'avais compris, s'approcha de moi et me dit : tu vas commencer par moi, et sur ce il baisse son bas de survêtement et le slip, laissant apparaitre une grosse bite circoncise. Allez, ouvre ta bouche et suce-moi ! Je compris la hauteur de la table, j'avais la tête au niveau de sa bite ! Je détournais la tête pour éviter le pire.
Pas décidé à me sucer me dit-il ? alors je vais te pisser dessus ! il approche son sexe et commence à m'uriner sur le visage ; j'avais beau essayer de bouger la tête, il m'inondait de pisse. Les autres rigolaient comme des dingues. Puis un second se positionna de l'autre côté de la table et en fit de même. puis les autres. Les cinq me pissaient dessus en même temps, j'en avalais en criant, mais ils continuaient en se marrant.
Quand ils se sont vidés complètement, Mouloud me dit : alors tu suces ou je te chie dessus ? Ne répondant pas, il entreprend de m'enjamber et de mettre son cul sur ma bouche.

J'ai craqué : O.K. je vais vous sucer !


Ah, te voila raisonnable, tu vas aimer nos bites , tu vas voir ! après tu suceras tous nos potes du bâtiment, on va aller les chercher, c'est pas souvent qu'un minet vient chez nous, alors autant en profiter !
Il s'approcha de ma bouche et me la pénétra entièrement. A toi, suce bien salope, et tu vas tout avaler, jusqu'au bout!
J'ai commencé à le sucer du mieux que je pouvais faire, n'ayant jamais fait de pipe jusqu'à présent. Très peu de temps après j'ai senti qu'il se raidissait, et j'ai reçu plusieurs giclées de sperme dans la bouche. A peine sorti, un autre a pris la place, avec une bite qui sentait fort ! et je me suis remis à le sucer lui aussi. Mais le pire fut que je constatais que je commençais à bander dans mon slip !
Regardez-le dit Mouloud, on dirait qu'on l'excite la salope ! Sur ce il me baisse le slip montrant qu'effectivement j'avais un début d'érection. Je leur dit : c'est la peur, c'est tout !
Ferme-la et suce mon pote.
Je vais l'enculer dit un autre ! mais avant on va lui raser les poils avec un briquet. Un vrai petit PD ce gars là, j'en étais sur dès que je l'ai vu, dit Mouloud.
Il alluma un briquet et me brûla tous les poils des couilles et de la bite ( qu'est-ce que j'allais raconter à ma femme )
Il me tira en arrière et me leva les jambes en l'air puis commença à forcer mon anus après avoir craché plusieurs fois sur mon cul! J'ai senti qu'il me pénétrait progressivement, puis entama des va-et-vient et se vida dans mon cul.
J'étais pris par la bouche et le cul en même temps.
D'autres copains sont venus et tous m'ont baisé comme une salope durant des heures, j'en pouvais plus, j'avais du tailler plus de 25 pipes et m'être autant fait enculer.
Ils me détachèrent et Mouloud me dit : on a ton adresse, alors si tu ne veux pas qu'on s'occupe de ta femme, tu viendras toutes les semaines te faire baiser, même jour, même heure, OK. Maintenant branle-toi, tu bandes encore.
Avant de pouvoir me rhabiller, j'ai du me masturber devant ceux qui étaient là, et honteux j'ai joui tout de suite.
Maintenant tu vas nous dire qu'elles étaient bonnes nos bites et que tu as hâte de revenir nous les sucer!
Oui, elles étaient bonnes et je reviendrai me faire baiser toutes les semaines et tous vous sucer...j'en ai très envie.

mercredi 22 avril 2020

LeS douZeS poSitionS de l'esclave [Kode de Konduite]

J'ai reçu cette image par les réseaux sociaux, et ça m'a rappelé un article de l'esclave contemporain
|Source : Les positions que le Maître affectionne]

Je l'ai adapté pour cette première leçon du Kode de Konduite Anthropique.

Les règles de base.

LA POSITION DES MAINS.

Quelle que soit la posture adoptée, lorsque les mains sont croisées dans le dos, les poignets sont croisés à hauteur des reins, les mains sont ouvertes et tendues, les doigts sont écartés.

LA POSITION DES JAMBES.

Les jambes et les cuisses de l’esclave sont toujours largement écartées quelle que soit la tenue de l’esclave, quelle  que soit sa posture, quel que soit l’endroit, quelles que soient les circonstances …

Outre l’humiliation qu’il engendre, cet écartement incarne une disponibilité sexuelle constant

Les douze positions.

1. DEBOUT DE FACE  - Position d'attente [Wait]

L’esclave est debout, les jambes largement écartées, la tête baissée, le regard fuyant, les mains croisées dans le dos. Il se trouve face à un(e) Maître(sse), une personne désignée, un public.

Commande : "Debout de face !" ou "Position 1 !" ou "Attente !" ou "Wait !"


2. DEBOUT DE DOS - Position d'inspection [Inspect]

L’esclave est debout, les jambes largement écartées, les mains croisées derrière la tête ou la nuque, les coudes bien tirés vers l’arrière. Il se trouve, dos à un(e) Maître(sse), une personne désignée, un public.
Commande : "Debout de dos !" ou "Position 2 !"ou "Inspection !" ou "Inspect !"


3. A GENOUX [Kneel].


L’esclave est à genoux, en position haute, les mains sont croisées derrière le dos, les cuisses sont largement écartées, la tête est baissée, le regard est fuyant. Il se trouve face à un(e) Maître(sse), une personne désignée, un public.

Commande : "A genoux !" ou "Position 3 !" ou "Kneel !".


4. EXPOSITION [Expose].


L’esclave est à genoux, en position haute, les mains croisées dans la nuque ou derrière la tête, les cuisses sont largement écartées, les coudes bien tirés vers l’arrière. Il se trouve face à un(e) Maître(sse), une personne désignée, un public.

Commande : "Exposition !" ou "Position 4 !" ou "Expose !"


5. PROSTERNATION - Position d'humilité [Humble].


L’esclave est à genoux, en position basse, le tronc fléchi, le front sur le sol, les reins sont cambrés, les cuisses sont largement écartées, les bras tendus dans le prolongement des épaules, les paumes des mains posées sur le sol les doigts joints. Il se trouve face à un(e) Maître(sse), une personne désignée, un public.

Commande : "Prosternation à genoux !" ou "Position 5 !" ou "Humilité !" ou "Humble !".


6. AU SOL [Floor].


L’esclave est allongé ventre au sol, le tronc droit, le front sur le sol, les jambes serrées, les bras collés contre le corps, les paumes des mains posées sur le sol, les doigts joints. Il se trouve aux pieds d'un(e) Maître(sse), une personne désignée, un public.

Commande : 'Au sol !" ou "Position 6 !" ou "Floor !"


7. AU MUR |Wall] .


L’esclave est debout sur la pointe des pieds, en appui sur le mur, les cuisses largement écartées, les bras légèrement fléchis, les reins cambrés. Il tourne le dos à un(e) Maître(sse), une personne désignée, un public.

Commande : Au Mur !" ou "Position 7" ou "Wall".


8. A QUATRE PATTES - Position de punition [Punish].


L’esclave est à quatre pattes, les cuisses serrées, les bras croisés au sol, les reins cambrés et les pieds relevés. Il se trouve aux pieds d' un(e) Maître(sse), une personne désignée, un public.

Commande : "A quatre pattes !" ou "Position 8 !"ou "Punition !" ou "Punishment !".


9. ACCROUPI - Position d'endurance [Endure]


L’esclave est à accroupi, les cuisses largement écartées, les fesses posées sur les talons, la tête et le regard droits, les mains posées à plat derrière la tête. Il se trouve face à un(e) Maître(sse), une personne désignée, un public.

Commande :"Accroupi !" ou "Position 9 !" ou "Endurance !" ou "Endure !"


10. ÉQUERRE - Présentation des fesses [Rear]


L’esclave est en équerre, les mains posées sur les genoux, bras tendus, épaules et tête haute, les fesses reculées et présentées, les reins cambrés, les jambes serrées. ​

Commande : "Présentez vos fesses !" ou "Position 10 !" ou "Equerre !" ou "Rear !".


11. PRÉSENTATION DES MAINS / D’UN OBJET [Hands]


L’esclave est à accroupi, les cuisses serrées, les fesses posées sur les talons, la tête droite, les bras tendus à hauteur de la poitrine, les mains plates et les paumes tournées vers le haut, un objet éventuellement posé au-travers des deux mains. Il se trouve face à un(e) Maître(sse), une personne désignée, un public.

Commande : "Présentez objet/mains !' ou "Position 11 !" ou  "Hands !".


12. AU REPOS OU NADU. [Rest]


L’esclave est assis en tailleur, les cuisses largement écartées, les fesses posées sur les talons, la tête baissée, le regard fuyant, les mains croisées sur le sexe. Il se trouve face à un(e) Maître(sse), une personne désignée, un public, un mur, un coin.

Commande : "Repos !" , "Nadu !", "Position 12 !" ou "Rest !"

Au Pilori ! [Jeu : Cherchez l'erreur]

Dans la vidéo qui suit, il y a une erreur de conception sur le pilori. Saurez-vous la trouver ?
Répondez en commentaires.

Arnaud S.


37e jour de Konfinement - AviS auX briKoleurS

Les magasins de bricolage ré-ouvrent. C'est le moment d'aller acheter de quoi fabriquer de nouveaux jouets pour vos soumis.
J'ai bien aimé la table de bondage modulable de cette vidéo, avec des pieds amovibles qu'on peut disposer en fonction du bondage. Une planche de bois assez épaisse, des trous à la scie-cloches et quelques pieds et le tour est joué !
Quelques pinces à linge, de la ficelle, et vous serez prêts pour le dé-Konfinement.

Envoyez moi vos projets.

Arnaud S.


lundi 20 avril 2020

La grotte des Gobelins - Volume I et II [Koup de Koeur animé]

Je suis tombé par hasard sur ces petits films d'animation qui m'ont bien excité.

J'ai essayé d'en savoir plus sur l'oeuvre et l'auteur (SANA), et je vous confirme que ces 2 x 8 minutes qui suivent sont bien l'intégralité de l"oeuvre.

Arnaud S.

Résumé : Nagui est un guerrier chargé de tuer les Gobelins. Malheureusement, il est attaqué par un Gobelin en entrant dans la grotte. Empoisonné et faible, il est à la merci du Gobelin...


Dans le volume 2, en tentant de le secourir, ses coéquipiers tombent dans un piège et deviennent à leur tour les esclaves sexuels des Orcs et des Gobelins.

jeudi 16 avril 2020

31e jour de Konfinement - Fan2 petite lope BG

En explorant le net pour passer le temps, je suis tombé sur cette jolie javalope prise en main par un bon Domi.

Tenez bon, la fin du K approche !

Arnaud S.

mardi 14 avril 2020

Le dreSSage de Dan |HistoireX traduite de Matt Swimmers]

[10 ans déjà : Article du 15/05/2010]

 [Traduction de "Taming Dan" de Matt Swimmers ]

C'était l'été. Je bronzais en conduisant sur cette mauvaise route. Ma camionnette faisait des bonds à cause des nids de poule, mais j'allais pas tarder à arriver. Cette route traversait ma propriété et aboutissait à un lac. C’était une voie privée, bordée de grands arbres. Exactement ce qu’il fallait pour la précieuse cargaison qui, j’espérais, était bien installée dans le coffre.
J’arrivai au terminus de la route, près du lac, et stoppai net. J’attrapai une bière dans la glacière posée sur le siège passager, et je sortis m’étirer les jambes. Les rayons du soleil caressaient mon torse tandis que j’observais la plage. L’eau devait être chaude. Je défis mes sandales pour aller vérifier. Elle était bien chaude, c'était très agréable. J’avais envie d’aller piquer une tête, vu que je ne portais déjà plus que mon short noir, mais je décidais de m'attaquer aux choses sérieuses.
Je retournai à la camionnette, attrapai une couverture sur le siège avant, et l’étendis sur le sable. J’attrapai la glacière et mon sac de paquetage, et les posai sur la couverture, puis je me débarrassai de ma canette de bière vide. Je retournai à l’arrière du camion et ouvris le coffre. Mon trésor était toujours la.
Je l’avais choppé alors qu’il essayait de cambrioler mon chalet la nuit précédente. Il essayait de se glisser dans le sous-sol par une fenêtre restée ouverte, mais il n’avait pas vu que j'étais à l'étage et que je l’observais depuis une demi-heure. Quand il réussit à se faufiler, je descendis le rejoindre. J'allumai la lumière. Il se précipita aussitôt. Il fonça sur moi avec son blouson, son pantalon et son masque noirs. Mais il ne s’attendait pas à ce que je résiste et que je le plaque au sol.
« Vas te faire foutre, vieux schnock ! » cria t'il. Il continuait à jurer tandis que je l’immobilisai en lui maintenant fermement les bras derrière le dos. Je pense qu’il ne s’attendait pas à ce qu’un homme de 55 ans puisse prendre le contrôle sur lui aussi facilement. Je lui retirai son masque et découvris une tête qui devait avoir dans les 18-19 ans. C'était un blanc, avec de longs cheveux bruns, et une barbe d’un jour. Il était plutôt mignon, il devait être italien ou grec. Il avait pas mal de muscles, mais vu comme il avait été facile à neutraliser, il ne savait pas s’en servir.
« Pas besoin d’être aussi grossier, petit.» J’attrapai une corde qui traînait pas loin, sur l’établi , et je lui passai autour des poignets.
« Putain, qu’est ce que tu fais ?» Il se débattait sous moi, mes ses bras étaient maintenant liés.
« Aïe ! Merde !» Je l’attrapai par les cheveux et lui fit basculer la tête en arrière.
« Ecoute moi minus, ce soir t’as pas fait le bon choix en venant te frotter à moi. » Il essaya de me cracher dessus, mais je réussis à l’éviter en lui collant une baffe. J’attrapai un autre bout de corde. Cette fois-ci, je l’enroulai autour de ses jambes avant de serrer.
« OK, maintenant je vais te laisser quelques minutes pour que tu te détendes.»
Je remontai, le laissant se tortiller sur le sol. Je le laissai comme ça une bonne demi-heure, et attendis qu’il arrête de gémir.
Lorsque je redescendis, il était toujours couché sur le sol.
« - Alors ca y’es, les flics arrivent ?
« - Pas du tout, mon garçon. » Je me rapprochai, et m’assis sur le sol à coté de lui.
« Ils viennent quand ces cons alors, putain ! » grogna t’il.
« Arrête d'être aussi grossier !» Il roula les yeux en entendant mon reproche.
« - Comment tu t’appelles, petit ?
- Enculé !
- Tes parents devaient pas t’aimer beaucoup pour te donner un nom pareil ! »
Je me mis à rire. Il me regarda plein de mépris. Je le retournai, quasi sûr de trouver un portefeuille dans la poche arrière de son jean.
« C’est pas vrai que t’as été assez con pour venir avec tes papiers sur toi ? » demandai-je en écartant le portefeuille avec le pouce. J’eu la réponse, ainsi qu’une carte de crédit et une liasse de billets de 20 dollars.
« Donc, tu t’appelles Dan, c’est ça ? » Je balançai le portefeuille. « On dirait que t’as déjà réussi à gagner de l’argent ce soir. » Je mis la main dans la poche de son blouson, et trouvai des petits sacs de marijuana et des paquet de cigarettes.
« - Ah, un dealer. De mieux en mieux !
- Faut bien que certains s’y collent !» dit-il encore plein de mépris.
« Eh bien, Dan, tes petites affaires sont finies pour ce soir. » Je me relevai et attrapai une paire de ciseaux accrochée au mur. « Ce soir, fiston, tu vas dormir ici, en bas. J’espère que ça te dérange pas. »
Il se débattit pendant que je lui défaisais le blouson. Il portait un débardeur blanc dessous, et on apercevait les poils du torse et des bras.
Il protesta de plus belle pendant que je découpais au ciseau les manches de son blouson.
« Je pense que ce sera plus confortable comme cela. » dis-je. Je ne pus m’empêcher d’attraper un de ses tétons et de le pincer à travers le coton blanc.
« Hé, lâche moi lopette ! » me cracha t’il à la figure. Je pinçai le téton encore plus fort, et il se tordit de douleur.
« Ca m’embêterai de devoir en plus te bâillonner, petit. » J’attrapai l’autre téton et le pinçai à son tour. « Quelle jolie voix !»
« Va au diable, pédé ! » grogna t’il. Je sourit, puis je me penchai pour le lécher dans le cou, en remontant lentement jusqu’à l'oreille. Je fis la sourde oreille à ses jurons et à ses insultes, me délectant de sa sueur.
« Je repasserai demain matin, Dan. On va bien s’amuser tous les deux… »
« Va cramer en enfer ! » me lança t’il alors que je remontais les escaliers. J’avais toujours le goût de sa sueur dans la bouche, et ma bite de 20 cm était raide dans le jean. Ses cris continuèrent pendant que je me déshabillais pour aller au lit. Une fois couché, complètement nu dans le lit, je pouvais encore l'entendre hurler dans le sous-sol.
Je me levai en grognant, et ramassai le caleçon rouge que j’avais jeté un peu plus tôt sur le sol. Je redescendis les escaliers pour le rejoindre. Il se débattait encore.
« Tu as interrompu mon sommeil, garçon. » Il était inquiet de voir mon corps poilu complètement nu. Ma bite était encore raide, et un petit peu de liquide séminal perlait sur mon prépuce. Je me disais que mon corps était plutôt pas mal pour mon âge, j'étais trapu avec des épaules larges, pour un peu plus d’un mètre quatre-vingt.
« C’est quoi ce bordel, mec ? » Je l’attrapai par les cheveux et quand il ouvrit sa bouche pour crier, j'en profitai pour lui y enfoncer mon caleçon. Ses cris étaient désormais étouffés par le tissu, et je le saisis pour le trainer jusqu’à un pilier en bois.
« C’est l’heure de la punition. » dis-je en saisissant la corde et les ciseaux. Je le relevai et le plaquai contre le pilier, puis desserrai la corde qui maintenait ses bras suffisamment pour pouvoir faire le tour du poteau, avant de le rattacher solidement. Il se débattait, inquiet de ce qui allait arriver.


Je me mis à genoux devant lui, il avait les yeux remplis de peur. Je défis sa ceinture, et déboutonnai son jean. Il poussa un cri quand je fis glisser son pantalon jusqu’aux chevilles. Il portait un caleçon blanc.
« T'es plutôt pas mal. » Je souris en lui pinçant de nouveau les tétons. « Je pense que ta punition sera assez simple ce soir. Une gueule pleine de mon jus, ça devrait te plaire.»
Je me relevai. Ses yeux ne quittaient plus ma bite que je branlais à quelques centimètres de son visage. J'étais excité à mort par la vue de ce jeune garçon ligotté en caleçon, et en peu de temps je fus prêt à décharger.
« Tes prêt pour recevoir, bébé ? » C’était à mon tour de me moquer de lui. Il était entrain de dire non de la tête lorsque je me mis à gémir puis à balancer la purée blanche qui alla s’écraser sur son visage. Il en avait une partie dans les cheveux, et le reste dégoulinait sur son nez, ses joues et le caleçon qui le bâillonnait toujours.
Ses yeux se remplirent de larmes lorsque je lui étalai le reste sur les joues. Je lui glissai à l'oreille : « T’as pas niqué le bon gars ce soir, mais demain, ce sera encore mieux... » Je me mis à rire en lui pinçant une nouvelle fois le téton. Je baissai la tête et remarquai qu’une bosse assez importante était apparue dans son caleçon.
« Ca alors, on dirait que mon jeune cambrioleur apprécie ? ». Je me mis à lui palper la bite à travers le caleçon. C’est clair, il bandait. Je défis ses liens pour lui permettre de s’allonger à nouveau sur le sol, avant de le le ficeller de plus belle. Cette fois-ci, il n’essaya même pas de se débattre. Je retirai le caleçon de sa bouche, mais lui mis en bandeau sur le dessus de la tête.
Je récupérai son portefeuille avant de remonter en souriant. J’éteignis la lumière en laissant le garçon sangloter dans le noir, ligoté et excité.

[A suivre, contactez moi pour m 'aider à traduire le meilleur de NIFTY ]

Anthro'PiKS : MultiSports

On est repartis pour 4 semaines de Konfinement, alors je continue de transférer mes collections.
Mieux que les vignettes PANINI, mes albums MultiSports et BondageS.

Et n'oubliez pas de cocher la bonne case quand vous allez courir à moins de 1 km de votre domicile.

Arnaud S.

vendredi 10 avril 2020

La piSSe, fluide Kaloporteur

[10 ans déjà : Article du 21/04/2010]

Certains animaux utilisent leur urine pour marquer leur territoire.
Moi,  j'adore pisser sur un bâtard bien soumis !

jeudi 9 avril 2020

Le veStiaire, lieu de fantaSme et de déSordre

[10 ans déjà :  article du 21/04/2010]

J'adore les vestiaires, peut-être car j'y ai vécu mes premiers troubles à l'adolescence...Lieu de refoulement de mon homosexualité naissante.
J'aime tout dans le vestiaire : le carrelage, les bancs, les porte-manteaux, les douches collectives, les odeurs de pieds, les sacs de sport plein, les chaussettes sales humides qui trainent en boule sur le sol...

mercredi 8 avril 2020

Déjà 10 ans : une brève hiStoire anthtopiK

J'ai commencé à tenir ce blog il y a tout juste  10 ans, avec des périodes de publication plus ou moins intenses jusqu'en 2013. 
AïKan a repris le flambeau en 2014, avec un premier transfert du blog en 2017 (Anthropie 2) suite aux dysfonctionnements répétitifs (déjà !) de Erog. Je le remercie encore et regrette qu'il ait mystérieusement disparu en juillet 2018 sans donner les clefs pour un éventuel repreneur...

Pour fêter cet anniversaire, je vais publier ici les premiers articles "remastérises" car les vidéos intégrées originales ne sont souvent plus disponibles.

On commence par l'introduction : article publié le 8/04/2010

Arnaud S.

mardi 7 avril 2020

Mon album photos PurJUS



Les possibilités de BLOGGER sont moins développées que EROG pour partager des photos.
Dur d"échapper à la toute puissance de l'ALPHAbet : j'ai commencé à migrer ma collection sur Google Photos.


Hot Dog pour javalope
Oréo à ma façon

Les autres photos sont sur l'album : PurJuS,

Régalez-vous les yeux !

Arnaud S.


lundi 6 avril 2020

Déchéance - Partie 1 (histoire)

Republication d'une petite histoire bien juteuse de Gaiden (email : rugbylover2005@yahoo.fr) dénichée sur un blog en 07/2010.

La rentrée avait été dure car je ne connaissais absolument personne : déménagement, nouveau lycée. D'un naturel timide, je trouvais difficile d'aborder mes camarades qui, eux, se connaissaient bien pour avoir eu une scolarité commune. Ajoutant à cela que j'étais attiré par les garçons, la vie n'était pas facile.
En milieu d'année, un voyage avait été organisé en Allemagne par les profs, et quand vint le moment fatidique du départ, je dus choisir avec qui je partagerai la chambre pendant les dix jours que devait durer le voyage. En fait, je traînais surtout avec un gars un peu cancre, Jean, footballeur un peu bouf qui n'était pas forcément très apprécié des autres. Il n'était pas spécialement beau : 1m80 peut-être, musclé sec, avec un visage dur pas trop engageant. Au moins, je ne fantasmais pas trop sur lui.
Nous n'étions pas très proches, ne nous voyant qu'au lycée, mais nous avions décidé de dormir dans la même famille d'accueil. Pour tous les deux, cela signifiait que nous évitions les gros boulets du lycée. J'aurais préféré un canon de beauté, mais bon. Il n'était pas horrible non plus, et j'espérais quand même avoir droit à quelques regards sur son intimité. Je n'avais pas vu beaucoup de mecs à poils jusque là : puceau, pas fan des sports collectifs, mes seuls instants de « bonheur » avaient été les douches du lycée après le sport.
En effet, en grande majorité, les mecs étaient pudiques et les douches un peu délabrées étaient plutôt là pour le décorum. Néanmoins, dès le début de l'année, un gars avait décidé de prendre une douche après chaque cours d'EPS. Il s'appelait Fabrice, 1m75, musclé, très poilu, belle gueule virile avec un bouc et un regard qui me faisait baver. J'essayais discrètement de mater un max ce beau gars, et il a alimenté un nombre incroyable de branlettes. Comme il suffisait d'un exemple pour amener les autres mecs aux douches, à la suite d'un cours de rugby sous la pluie, la moitié des gars du groupe (classes mélangées) s'étaient lancés à l'assaut des douches. Moi, j'avais fui sans même mater, craignant trop de me faire capter. Regrets. Cet élan de propreté n'eut lieu qu'une fois.
Au final, je ne connaissais donc Jean qu'habillé, et je m'imaginais à quoi il pouvait ressembler à poils. Je ne me faisais toutefois pas d'illusions. Aucune chance qu'il se désape devant moi. Le voyage eut lieu, assez long. Puis l'arrivée, et nous fûmes dispatchés dans les familles. La nôtre était sympa, un couple avec un fils de notre âge - que je trouvais d'ailleurs très mignon - et une fille plus âgée. Ils habitaient une grande baraque un peu excentrée et ils nous installèrent dans une chambre assez petite, à l'étage, avec deux lits séparés d'un mètre tout au plus. L'étage était réservé aux deux enfants et à nous, avec une grande salle de bain.
Après le repas du soir, fatigués pas le voyage, nous avons été directement nous coucher. Et là, j'eus ma première surprise : dès que la porte fut fermée, Jean s'est rapidement déshabillé. Complètement ! Moi, je fouillais dans mon sac de voyage et mon rythme cardiaque s'est subitement accéléré. Je l'observais du coin de l'oil, oubliant ce que je cherchais dans le sac. Jean était effectivement musclé sec. Il était aussi plutôt poilu, avec une couverture drue sur le torse qui descendait, passant le nombril, jusqu'à son sexe, assez long et pendant. Il fouillait aussi dans son sac. Queue et couilles ballottaient, à un mètre de moi. Je fus immédiatement bandé. Puis il trouva un caleçon et l'enfila avant de se glisser sous les couvertures.
Moi, je continuais à fouiller dans mon sac, essayant de penser à autre chose. Puis je me mis en caleçon et me coucha. Repensant à ce que je venais de voir, je me remis à bander, et dès que Jean sembla dormir, je me mis à me branler très doucement, finissant par éjaculer dans mon caleçon.
Au matin, je me suis levé en vitesse dès la sonnerie du réveil pour aller à la salle de bain avant que Jean puisse voir les traces de sperme. A mon retour dans la chambre, il y est allé, puis nous avons petit-déjeuner avec notre famille d'accueil. Nous avons passé la journée à visiter le coin avec notre groupe. Retour le soir. Dîner en « famille ». Assez peu de discussions vu notre niveau d'allemand à Jean et moi. Enfin chambre. Cette fois, je me mis très vite en caleçon et me coucha sous les draps, attrapant un livre. Très discrètement, je pouvais mater Jean. Il alla d'abord faire un tour aux toilettes puis revint et, re bellotte, il se mit à poils. Il ne s'exhibait pas, il le faisait avec naturel. J'étais raide et fasciné par son corps d'homme (nous n'avions que 16 ans.). Il replia ses affaires, les rangea, puis se coucha. Je repris ma lecture.
Tout à coup, Jean lâcha une phrase qui me fit l'effet d'une bombe :
- J'ai la gaule, j'ai envie de me branler.
Là, j'étais sidéré et ne savais pas quoi répondre.
- Et ? fis-je un peu bêtement.
- Ca te dérange ?
- Bah. Tu fais ce que tu veux.
J'essayais alors de continuer ma lecture, mais j'écoutais attentivement sans oser regarder. Bruissements réguliers du drap. Bruits de succion humide. Halètements allant crescendo. Une branlette sauvage, rapide, allant droit au but. Arrêt brutal, un petit gémissement de sa part. Je triquais comme un fou, tournant les pages sans les lire.
- J'ai rien pour essuyer, dit tout à coup Jean. Passe-moi quelque chose.
Là, j'ai hésité : obéir en espérant apercevoir quelque chose ou refuser pour marquer mon indifférence feinte. J'ai répliqué :
- C'est bon, débrouille-toi. T'aurais pu y penser avant.
- Putain, t'es lourd.
Il a brutalement repoussé les couvertures et s'est levé, se dirigeant au pied des lits. Il était nu, son caleçon à la main, et je n'ai osé le regarder que de dos, matant ses fesses poilues. Pendant qu'il s'essuyait, j'ai repris ma fausse lecture, le cour battant la chamade.
Soudain, je fis un bond dans le lit quand quelque chose de mou m'atterrit sur la gueule. Je repoussais mon livre et prit le vêtement à deux mains, sans comprendre. C'était l'un de mes t-shirts. Il était gluant et l'odeur caractéristique atteignit mes narines. Je me retrouvais avec un peu de sperme sur le nez et sur les doigts. J'ai gueulé :
- Espèce de connard ! Tu pouvais pas prendre tes fringues ?!
- Oh, ta gueule. T'avais qu'à m'aider.
Je me suis tu, j'ai jeté le t-shirt par terre. J'étais emmerdé, j'aurais dû aller à la salle de bain pour me laver la figure, les mains. Mais j'avais une gaule terrible. J'ai fait comme si de rien n'était. Jean était encore debout au pied de son lit. Il avait renfilé son caleçon. Sa bite n'était pas encore complètement au repos et faisait une belle bosse. Il me regardait avec un petit sourire sardonique. Puis il s'est recouché et j'ai éteint la lumière. Je n'ai pas osé me branler, mais profitant de l'obscurité, j'ai léché mes doigts et ramassé le peu qu'il y avait sur mon nez. Le goût était fort, âcre, et terriblement excitant.
Le lendemain, il alla le premier à la salle de bain. J'en profitais pour sniffer mon t-shirt souillé. Lors de mon passage dans la salle de bain, il me fallut moins de trente secondes pour juter dans la baignoire. Petit-déjeuner, puis visites. Retour au logis. Dîner. Retour dans la petite chambre. Quand je suis revenu des toilettes, Jean était déjà au lit. J'avais loupé le spectacle. Je me suis couché et j'ai pris mon bouquin. Mais lui avait envie de se taper la discute :
- C'est chiant les visites, non ?
- Un peu, oui.
Conversations platoniques. Puis :
- Tu fais pas de sport ?
- Non.
- Pourtant, t'es plutôt musclé.
- Ouais.
- Les sports co, c'est top. Ca forme de super groupes, vachement soudés.
Je le croyais volontiers, mais le sujet m'était pénible et je ne voyais pas où il voulait en venir.
- Tu connais le jeu du biscuit ? On y joue parfois dans les vestiaires.
- C'est quoi ? ai-je demandé, le cour battant.
- Le principe, c'est qu'on fait un cercle et on met un biscuit au milieu. On se branle tous dessus, et le dernier qui jute bouffe le biscuit trempé.
- C'est dégueulasse ! (en mon for intérieur, je pensais : c'est super excitant !)
- Pour le dernier, ouais. Ca m'est jamais arrivé.
- Faut être con pour jouer à ça. (si seulement ça pouvait m'arriver.)
- Putain, c'est toi qu'es trop con.
J'ai gardé le silence. Il a alors baissé son caleçon et a entrepris une branlette sous les draps. Je bandais encore comme un fou. Va-et-vient pendant quelques minutes, puis plus rien. J'ai jeté un oil vers lui et l'ai vu se lever. Sa queue était droite, son gland collé contre son nombril. Nettement plus longue et plus large que la mienne. J'ai cru défaillir. Hypnotisé, je l'ai regardé s'approcher. Il s'est arrêté au bord de mon lit, et j'ai demandé d'une voix mal assurée :
- Qu'est-ce que tu veux ?!
Il n'a pas répondu, a attrapé sa queue dans la main droite et s'est mis à l'astiquer. Moins de cinq secondes après, il a déchargé sans me laissant le temps de réagir : un premier jet crémeux s'est écrasé dans mes cheveux et sur mon front. Un second sur ma joue. Le reste a coulé sur le bord de mon lit, sur mon drap. Je n'ai pas bougé, je n'ai rien dit. Je me suis senti une vraie larve et en même temps, j'étais excité comme jamais.
- Ca, c'est pour m'avoir traité de connard hier et de con aujourd'hui. Pauvre merde.
J'étais tétanisé. Il m'a essuyé sa main dans les cheveux et est retourné se coucher après avoir éteint la lumière. Je me suis endormi comme ça.
Au matin, son jus avait séché après avoir coulé sur mon nez, dans mon cou. Heureusement, je n'ai croisé personne sur le palier avant d'entrer dans la salle de bain. Grosse branlette douloureuse. Journée semblable aux autres, sauf que Jean me regardait bizarrement, un peu méprisant. Quand nous nous sommes retrouvés dans la chambre, il y avait un silence gêné. Il s'est couché à poils, après avoir pris quelque chose dans son sac. Je n'ai même pas lu, je me suis tourné contre le mur. Je l'ai entendu se branler une nouvelle fois. Il a joui dans son coin. Au réveil, rien de particulier, mais arrivés dans la cuisine pour le petit-déjeuner, il n'y avait que la mère. Nous avons vaguement compris qu'il n'y avait pas école et qu'enfants et mari étaient partis. Où ? Aucune idée. Nous nous sommes assis, et là, tandis que la mère avait le dos tourné, j'ai vu Jean sortir quelque chose de sa poche.
C'était une capote rose, nouée. Elle était pleine. J'ai cru que mes yeux allaient me sortir de la tête. Sans que je puisse réagir, j'ai vu Jean déchirer le latex sous le noud et, prestement, il a versé le contenu dans mon bol de chocolat. En un instant, la capote trouée avait disparu et la mère vint nous amener des tartines grillées à table. J'étais horrifié. Jean m'observait, narquois. Sous la table, mon pantalon était pourtant gonflé à craquer. Là, l'humiliation était terrible. Puis la mère nous a fait comprendre qu'il fallait nous dépêcher car nous allions finir par être en retard. Sous le regard dur de Jean, j'ai trempé mes tartines et les ai mangées. Déglutissant difficilement. Tout cela me dégoûtait, et en même temps, j'aimais. J'ai fini par boire le contenu du bol sous les regards de Jean et de notre hôte. J'avais envie de vomir et de me branler. Quand nous sommes sortis de la maison, Jean n'a dit qu'une chose :
- T'es vraiment qu'une sous-merde.
Et il s'est marré. Il allait m'en faire baver.

Toute la journée, j'ai pensé à ce que Jean m'avait fait faire le matin même, et autant mon ventre se serrait, autant ma bite se gonflait à bloc. Avec le groupe, pas moyen de se branler, et je savais que je devrais attendre d'être rentré dans la famille d'accueil. Jean m'a regardé toute la journée avec son sourire narquois, et j'avais nettement l'impression qu'il n'était pas le seul : d'autres mecs me regardaient bizarrement. J'avais remarqué que Jean discutait à voix basse avec eux.
La journée s'écoula trop lentement, et dès notre retour à la maison où nous logions, je me suis réfugié dans les toilettes où j'ai éjaculé ce qui me semblait être un torrent de foutre. Tant pis pour l'odeur. Après cela, j'avais un peu honte. Peur aussi de me faire remarquer par la famille. Toutefois, il n'y eut aucune remarque particulière au cours du repas. Le mari et les enfants étaient rentrés. En rentrant dans la chambre que je partageais avec Jean, ce dernier était allongé sur le ventre, à sa place. Il feuilletait un magazine et m'ignorait.
Je me mis en caleçon avant de me coucher. Après une dizaine de minutes de lecture, je me suis tourné pour chercher le sommeil, me demandant ce que Jean me réservait encore. Je me suis rapidement endormi, malgré la lumière.
Tout à coup, dans mon sommeil, j'ai senti quelque chose me couler dans le cou et je me suis réveillé en sursaut. Je me suis tourné sur le dos brusquement, et j'ai vu le corps de Jean qui me dominait. La lumière était toujours allumée. A la main, il avait une petite bouteille d'eau d'un demi-litre, pratiquement pleine. Avec un frisson d'horreur, j'ai réalisé subitement que ce n'était pas de l'eau. L'odeur du sperme atteignit mes narines et je me mis à essuyer la traînée que Jean avait fait couler dans mon cou. Je n'arrivais pas à détacher mes yeux de la bouteille, ne parvenant pas à croire qu'elle était pleine de jus. Avec ma branlette précédente, j'avais assouvi mes pulsions et je n'étais absolument plus excité.
J'ai voulu me redresser mais Jean a chuchoté :

- Tu fermes ta gueule et tu bouges pas. Ou plutôt, tu es bien gentil, tu ouvres grand la bouche et tout va bien. Sinon.
- Ca va pas, non ? répondis-je plus fort que je n'aurais voulu.

Je voyais où il voulait en venir et là, je refusais.

- Sinon, j'attends que tu dormes et je t'en verse partout : sur ton lit, sur ta gueule de connard, dans ton sac, . Soit tu avales tout et tu restes propre, soit. tu assumes.
Il me regardait durement, sa bouteille à la main. Je n'en voulais pas. J'avais déjà goûté son jus et autant quand j'étais excité, cela me paraissait génial, autant là, j'étais dégoûté. Un demi-litre... Mais cet abruti était capable de ruiner toutes mes affaires. Je me sentais piégé, à sa merci.

- C'est quoi dans la bouteille ? demandai-je pour gagner du temps. Je ne m'attendais pas à une réponse aussi terrible.
- Du jus de mecs. Sept en plus de moi. On s'est tous branlé deux fois pour toi, alors maintenant, faut nous en remercier.
- Qui ?!

J'ai bien cru que j'allais m'évanouir. Il avait raconté à sept mecs l'histoire de ce matin, et maintenant, ils allaient tous vouloir m'humilier.
- Ca te regarde pas. Pas encore, fit-il avec un clin d'oeil. Et il n'y en a que deux qui sont dans notre classe.

Que deux. Je réfléchissais à toute allure pour m'y soustraire. Mais je compris alors que je n'y couperais pas.

- Tu me laisses prendre la bouteille, s'il te plaît ? Je vais boire au goulot.
- C'est ça, t'as raison. Non. Allonge toi bien et ouvre grand la bouche.

J'obéis en fermant les yeux.

- Et ouvre les yeux, bordel !
Je le fis. Il pencha la bouteille à quelques centimètres au-dessus de ma bouche grande ouverte. Le jus afflua, froid, odorant et écourant. Ma gorge se serra et j'eus un haut-le-coeur. Mais Jean continua à verser et une partie déborda, inondant mon oreiller. Je me mis à avaler au plus vite. Son regard froid était planté dans le mien. J'avais les larmes aux yeux. Je n'avais jamais goûté plus que quelques gouttes en me branlant. Là, c'était atroce.
Finalement, la bouteille fut vide. Avec un air satisfait, Jean remis le bouchon dessus. C'est alors que j'ai remarqué qu'il bandait comme un âne.
- Tu te rends compte ? Tu viens de te prendre 16 décharges dans le gosier. Allez, maintenant, tu vas pouvoir me sucer.
- Hein ?!

Je n'en pouvais plus. Il voulait en plus que je lui taille une pipe. C'est vrai qu'au point où j'en étais, ce n'était plus bien grave, mais pour ma première pipe, j'aurais aimé choisir la personne, le lieu, l'endroit. J'aurais aimé choisir tout court : là, je n'avais vraiment pas envie. Jean s'en foutait. Il grimpa sur le lit, à califourchon sur moi, encore sous les couvertures, et il rapprocha sa bite de ma gueule. Je le regardais faire avec désespoir.

- Si tu t'appliques pas, tu verras ta réputation au lycée.

Menace facile et pourtant efficace. J'ouvris la bouche. Sans perdre de temps, il y fourra sa queue bandée et commença directement à me baiser la gueule, assez violemment. Je crus étouffer, j'avais envie de vomir. Et en même temps, pourtant, ma bite commençait à se réveiller.

- T'as de la chance, ça va durer longtemps, vu que j'ai déjà juté deux fois aujourd'hui.
Quelle chance ! Effectivement, j'ai eu l'impression que la pipe durait une éternité. J'avais mal aux mâchoires et à la gorge. Jean continuait inlassablement. Puis j'ai senti que sa respiration se faisait plus rapide, son corps se tendait. Il a sorti son engin et m'a dit :

- Ferme la bouche, ouvre bien les yeux.

J'ai obéis. Jean se finissait à la main, son gland dirigé sous mon nez. Soudain, il a eu un spasme et un jet chaud, épais et puissant s'est écrasé dans mes narines. Le second a atterri sur ma joue gauche où il est resté collé.

- Ouvre ta gueule, sale merde.
Je l'ai fait et il y a engouffré sa queue visqueuse que j'ai achevé de vider et de nettoyer. Il s'est alors relevé, a éteint la lumière et s'est couché. Je suis resté éveillé longtemps, ressassant douloureusement les événements. L'odeur et le goût du sperme - des spermes - était terriblement envahissant. Ma queue me faisait mal tellement elle était raide. Je n'ai même pas pris la peine d'essuyer le jus sur mon visage. J'ai attendu d'être sûr que Jean dorme pour me branler à mon tour, et je me suis jouis dessus, inondant mon caleçon. Je me suis endormi en pleurant doucement.

Le lendemain matin, ce n'est pas le réveil qui m'a sorti des bras de Morphée, mais Jean qui grimpait de nouveau sur mon lit. Il avait la gaule et mon coeur a fait une embardée. Là, il m'a sorti :

- Tu suces trop mal, te donne pas trop la peine, je vais juste me branler.

Il s'est placé au-dessus de moi et a commencé sa branlette. Dur dur comme réveil. Je sentais les croûtes de sperme séché sur mon visage. Jean décalottait et recalottait à toute allure. Sa respiration s'est accélérée et cinq jets ont giclé. J'en avais partout : joues, cheveux, cou, nez. Il m'a mis sa bite dans la bouche pour nettoyer puis il s'est relevé, s'est habillé et a quitté la pièce en laissant la porte ouverte.
Je n'avais rien pour essuyer, donc je me suis levé en vitesse, je me suis habillé et j'ai filé à la salle de bain. Malheureusement, au moment où j'allais poser la main sur la poignée, la porte s'est ouverte sur le fils de la famille. J'ai baissé la tête en rougissant. Il est sorti sans rien dire. Je me sentais trop mal. Je me suis enfermé dans la salle de bain et je me suis longuement lavé le corps, les cheveux. et les dents !
Après cela, pendant le petit-déjeuner, Jean a fait comme si de rien n'était. Par contre, le fils de la famille ne cessait de me jeter des regards appuyés et curieux, auxquels je me dérobais. Nous sommes partis, ce qui devait être un soulagement très bref. En effet, dès que nous avons été montés dans le car, Jean s'est dirigé vers un groupe de mecs et ils ont tous éclaté de rire. J'avais les oreilles en feu. Dans le lot, il y avait le beau Fabrice, objet de tous mes fantasmes dans les vestiaires, et malgré ma honte, je me suis mis à bander à l'idée d'avoir bu son sperme.
Je suis resté à l'avant du car en espérant pouvoir les ignorer. Nouvelles visites dont je me désintéressais, puis pause déjeuner le midi, dans un jardin public. Là, j'ai voulu m'isoler pour pouvoir manger mes sandwichs, mais Jean ne voyait pas les choses ainsi : il est venu avec Guillaume, l'un des gars ayant rempli la bouteille. Guillaume n'était pas un étalon sans être un thon : blond aux yeux bleux, une gueule virile avec un corps plutôt grassouillet. 1m75 tout au plus.

Jean m'a tout de suite informé sur ses intentions en me parlant doucement dans l'oreille :

- Guillaume aimerait bien une petit pipe. Je lui ai dit que tu suçais pas très bien, mais il a envie quand même. Derrière toi, il y a des toilettes publiques. Vas-y avec lui ou tout le lycée apprendra tes péripéties.
Un froid intense m'a envahi. J'ai baissé la tête, vaincu. Guillaume s'est dirigé vers les toilettes et Jean m'a fait signe de le suivre. Au loin, j'ai entendu des ricanements et, en me retournant, j'ai vu qu'il s'agissait des six autres. Dans l'ombre du petit bâtiment, j'ai vu Guillaume rentrer dans une cabine. Je l'y ai suivi après avoir allumé la lumière et m'être assuré qu'il n'y avait personne. Il n'a pas perdu de temps : il a baissé pantalon et caleçon, dévoilant une bite encore molle, pas très longue, surmonté par un léger buisson de poils à peine plus foncés que ses cheveux.
Le gars m'a mis les mains sur les épaules et m'a poussé vers le bas. Je me suis agenouillé, j'ai ouvert la bouche et j'ai fermé les yeux. Guillaume m'a pris la tête et a rentré sa queue me demandant de bien l'aspirer. Ce faisant, elle s'est mise à gonfler rapidement, sans atteindre la taille de celle de Jean. Il a alors communiqué à ma tête un puissant mouvement de va-et-vient, m'enfonçant le nez dans ses poils, puis libérant pratiquement sa queue de ma bouche. De nouveau, je dus faire de gros efforts pour ne pas vomir. Heureusement, Guillaume ne fut pas long à m'inonder la bouche et je m'appliquai à bien tout avaler de peur d'en avoir sur mes vêtements. Il m'a demandé de bien nettoyer sa bite avant de me tapoter sur la tête comme à un chien. J'avais mal aux genoux en plus de la mâchoire. Il a pissé devant moi pendant que me relevais et que j'ajustais ma queue dans mon pantalon : elle était fièrement dressée quand moi, je me sentais moins que rien. Nous sommes sortis ensemble et Guillaume a fait un signe ravi à ses potes. Jean avait ramené mon sac à dos à côté d'eux. En le récupérant, j'ai pu entendre Guillaume dire :

- Ouais, il a tout avalé. Peut mieux faire, mais c'est pas mal quand même.

Adrien, un beau brun, petit mais super baraqué avec une belle gueule de rugbyman, a alors rétorqué :
- Je vais peut-être me le faire maintenant, alors.

Le coeur battant, je fus sauvé par le gong : nos profs nous ont alors appelés pour reprendre le car. La pause déjeuner était finie. Je fus le premier à monter dedans.

Le pire restait à venir.

[SUITE à venir]

21e jour de Konfinement [fan2...piSSe]

On continue l'exploration des espaces possibles pour les plans confinés.
Pour ceux qui ont la chance de disposer d"une petite cour, j'adore cette vidéo d'urolope.
Arnaud S.

vendredi 3 avril 2020

Konfinement J+16 : deS SoldatS bien juteuX

Le président l'a dit : "nous sommes en état de guerre ! "
C'est donc l'occasion de (re)voir un épisode de ma série préférée : Gay War Games.
Si quelqu'un veut organiser un Boot Camp avec capture et torture de soldats ennemis, contactez-moi !
Arnaud S.